Quant au sentiment d'impunité manifesté par des prélats, des ecclésiastiques qui sciemment continuent d'asseoir leur pouvoir sur le monde, un pouvoir basé sur des mythes et des légendes,
En affichant à la tête du monde un visage aussi lisse que pourrait l'être le cul d'un bébé,
Et qui commettent le pire en usant de méthodes invisibles,
Se pensant donc intouchables et purs,
Dois je rappeler qu'en termes spirituels comme en termes légaux,
L'infraction se fonde principalement sur une intention
Puisque c'est elle qui va déterminer l'action.
J'inviterais donc c'est messieurs les prélats qui aiment tant citer Jésus, à se replonger dans les textes
Et à méditer sur le sens de sa parole quand il dit :
"Tu devras craindre TON dieu"
Tout autant que lorsqu'il dit, que le temps remet tout le monde à sa place, et réglera ses comptes avec qui de droit au jugement dernier, exposant les criminels à une seconde mort.
Son dieu et le seul pour chacun , est son intelligence via l'hémisphère droit de son cerveau,
Ce fameux féminin sacré qui a fait couler tant d'encre et a suscité tant de leurs absurdes chez certains dominants du passé,
Et c'est lui, ce YIN, qui s'il a été occulté volontairement, au moment de votre décès physique, viendra vous rappeler dans un dernier sursaut vos crimes avant d'expirer définitivement .
L'individu qui commet des crimes contre ses semblables, qui leur ment et les utilise, comme s'ils étaient des objets,
Est en réalité un individu déjà à moitié mort. C'était aussi cela le constat de Jésus.
J'inviterais chacun et chacune à remettre ses pendules à l'heure. Le courage fait partie aussi des qualités de cœur dont nous dote notre hémisphère droit.
On ne peut sauver personne de lui même. A un moment donné, c'est à chacun d'assumer ses choix et ses actes, et ce, malgré toute la compréhension et l'empathie que peuvent avoir des personnes saines. Elles ne peuvent pas faire à leur place un travail qui est individuel.
Le mythe du sauveur aura plombé pas mal d'esprits. Celui du pardon aussi.
Reprenez vos dictionnaires, le code pénal, et regardez vous dans une glace sans concession. C'est là que commence la responsabilité.
Merci.