Je mettais promis de ne plus écrire sur l’affaire de Cédric Jubillar ; mais l’actualité est toujours en mouvement. Aujourd’hui la gendarmerie cherche le petit dénominateur commun en la personne de la compagne de Cédric.
Séverine L. Entendu en garde à vue pendant quarante heures au titre de « recel de cadavre ».
Séverine L, sa compagne émet des doutes, sur des comportements très étranges… J’ai été peut-être trop naïve.
Tout est bon pour donner de l’émotion, créer une dose d’authenticité.
Aujourd’hui, c’est à un codétenu qui déclare, que Cédric lui à avouer, d’avoir tué sa femme et enterré son corps, à 7 ou 8 km de chez lui…
Ces surprenantes confessions, de Cédric Jubillar à un codétenu. Soit, il est totalement perturbé, ou complètement stupide pour raconter tout ceci à des personnes qu’il connaît si peu. Sincèrement je ne peux y croire ! Difficile, de savoir quel crédit apporter à de tels propos.
Encore mieux, il aurait demandé à ce codétenu, dès sa sortie, de contacter sa compagne, et lui dire qu’elle aille voir, si le corps est toujours en bonne place, « là où je l’ai enterré ! À côté de la maison qui a brûlé ».
Ça ne fait pas loin d’un an qu’il est soupçonné d’un crime, commis sur sa femme, et va débiter de tels aveux à un ou à plusieurs prisonniers. Nous pouvons supposer que les gendarmes lui, on mit la pression ; il est resté tout de même toujours fidèle à ces déclarations depuis le début.
Nous ne savons pas si Cédric est coupable ou non coupable ; il n’en demeure pas moins, qu’il continue de nier farouchement toute implication à la disparation de sa femme.
Il reste tout de même le principal suspect dans cette histoire. Il existerait un faisceau d’indice concordant.
Bon dimanche à vous tous !
Jean Olmini
Le 19 décembre 2021