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Se souvenant de Mitterrand s'en prenant aux chiens de journalistes, à l'occasion des obsèques de Pierre Bérégovoy, Christian Poncelet a repris l'expression pour se plaindre d'"une campagne malhonnête, vraiment inqualifiable"...
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Ce n'est pas la cohérence ni le courage qui étouffent l'ex-président du Sénat, car s'il se sentait aussi innocent qu'il dit de ce qu'on lui reproche, l'appartement à vie dont, qu'il le veuille ou non, il avait fait la demande, il n'y aurait pas renoncé...
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Retrouvez sa déclaration à l'AFP dans la rubrique revue de presse de mon blog perso, à cette adresse :
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http://jeanpaulyveslegoff.over-blog.com/article-23359091.html
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Soit dit en passant, je trouve que Médiapart, peut-être dans le souci de ne pas être assimilé aux "chiens" a été d'une trop grande discrétion.
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L'affaire de l'appartement de Poncelet est, à mes yeux, fort représentative de l'état de ce que l'on appelle souvent notre "démocratie".
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Un "appel" dans la rubrique conférence, le 1er octobre.
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et une très, très vague allusion, par Michel Dalloni, à un ouvrage à paraître qui, à mon avis, devra être regardé de près, de beaucoup plus près que cette notule donnerait à penser :
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