Dans la foulée de mes deux commentaires à l'écho de Marine Turchi: la gestion de l'Assemblée nationale épinglée, je signale que le JDD publie également un papier sur un rapport à paraître de l'IFRAP ((Institut français pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques) consacré à la Cour des Comptes.
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Il paraît que les audits de la rue Cambon ressortirait du théâtre; autrement dit, Philippe Séguin et ses "sages" confondraient les comptes de faits et les contes de fée.
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jean-paul yves le goff
démocrate utopiste
républicain réaliste
http://www.lelivrelibre.bet
extraits :
D'habitude, c'est elle qui épingle. La Cour des comptes fait régulièrement parler d'elle en pointant notamment l'irrégularité des comptes de l'administration et des établissements publics, jusqu'à la Banque de France. La voici à son tour épinglée dans un rapport de l'Ifrap (Institut français pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques), think tank libéral qui milite pour la chasse au gaspi.
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Et pour l'Ifrap, la Cour des comptes a sa part de responsabilité dans ce bilan. L'institut s'en prend d'abord au mode de recrutement des magistrats, à 80% issus de l'ENA, ayant une forte culture juridique et politique, "mais peu d'intérêt pour l'audit".
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Conséquence de ce recrutement selon l'Ifrap, "le contrôle de la dépense publique revient souvent à faire du théâtre". Pour étayer ses propos, le think tank s'appuie sur une des rares études consacrées à la Cour des comptes, rédigée en 2005 par les députés Yves Jégo (UMP) et Jean-Louis Dumont (PS). Ce dernier affirme que les travaux de la Cour sont peu exploitables par le politique et rarement suivis d'effets car "ils manquent de précision et de chiffrage et offrent rarement des solutions". "
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voir:
http://www.lejdd.fr/cmc/politique/200845/cour-des-comptes-l-epingleur-epingle_163392.html