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Un empereur peut capituler tout en faisant passer ses défaites pour des victoires à travers plusieurs stratégies de communication et de manipulation des perceptions :
Propagande et Narratif Alternatif :
Contrôle de l'information : L'empereur pourrait contrôler les canaux d'information pour diffuser une version des événements qui soit favorable à son image. Par exemple, en insistant sur les victoires précédentes ou sur les aspects négatifs de la guerre, en minimisant les pertes ou en mettant en avant des "victoires diplomatiques".
Réécriture de l'Histoire :
Réinterprétation des événements : Il pourrait présenter la capitulation comme une décision stratégique prise pour éviter plus de pertes humaines ou pour assurer la prospérité future du pays. Par exemple, en disant que la paix obtenue est une "victoire" sur la guerre elle-même.
Cérémonie et Symbolisme :
Ritualisation de la capitulation : En organisant une cérémonie de capitulation qui emprunte des éléments de la victoire - comme des défilés, des discours triomphants, ou en utilisant des symboles traditionnellement associés à la victoire.
Création de Mythes et Légendes :
Héroïsation : En s'assurant que la capitulation est vue comme un acte héroïque ou stratégique, peut-être en créant des mythes autour de sa personne ou de ses généraux, les transformant en héros ayant "sauvé" le peuple ou le pays de désastres plus grands.
Blâme et Diversion :
Diversion de la responsabilité : En plaçant la faute sur des conseillers, généraux, ou même en créant un ennemi intérieur ou extérieur à blâmer pour les échecs militaires. Cela peut détourner l'attention de sa propre défaite.
Conditions de Paix Avantageuses :
Négociations secrètes : Si l'empereur peut obtenir des conditions de paix qui semblent avantageuses ou qui lui permettent de conserver certaines prérogatives, il pourrait présenter ces concessions comme des victoires diplomatiques.
Utilisation de la Culture et de la Religion :
Justification morale ou divine : En invoquant des raisons morales ou religieuses pour la capitulation, suggérant que c'était la volonté divine ou le choix le plus éthique pour le bien-être du peuple.
- Etc. .
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Merci X.Grok, te voilà publié dans Mediapart . . !
P.S. : Quitter X n'est pas une erreur, c'est une faute, une capitulation drapée dans la bien-pensance ! Combien d'amis faites-vous perdre à X ? Si peu. Combien d’interlocuteurs à convaincre et d'adversaires à combattre négligez-vous ? Beaucoup trop. Ne courrez plus vous blottir dans un quelconque entre-soi rassurant. Résistez . . partout ! (jef Safi)