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Un sous-fifre peut lécher son maître tout en faisant passer sa servilité pour de la dignité en adoptant des stratégies qui masquent son assujettissement sous une apparence de noblesse ou de maîtrise de soi. Voici comment il pourrait y parvenir :
- Posture. S’incliner avec élégance : En exécutant son geste de soumission avec une grâce ou une solennité calculée, il peut donner l’impression que cet acte est volontaire et réfléchi, plutôt qu’imposé. Une révérence exagérément digne ou un ton posé peut transformer un signe de servilité en une marque de raffinement.
Le sous-fifre. Agrandissement : Illustration 2
- Justification. Revendiquer une vertu : Il pourrait présenter son obéissance comme une preuve de loyauté, d’humilité ou de sagesse, des qualités associées à la dignité. Par exemple, dire "Je m’incline par respect, non par faiblesse" redéfinit la servilité comme un choix moral honorable.
- Symbole. Mettre en avant le bien commun : En liant son acte à une cause plus grande – comme le service à une autorité légitime ou le bien-être d’un groupe – il peut faire passer sa soumission pour un sacrifice noble rather than une capitulation humiliante.
Le sous-fifre. Agrandissement : Illustration 3
- Contrôle. Rester impassible : En masquant toute trace de honte ou de frustration, et en affichant une sérénité apparente, il projette une image de force intérieure. Cette retenue peut être perçue comme une dignité face à l’adversité, même s’il obéit à contrecœur.
- Réappropriation de l’Acte, comme tactique : Il peut laisser entendre qu’il s’incline temporairement pour mieux se positionner ou éviter un conflit inutile, suggérant une intelligence stratégique plutôt qu’une simple servilité. Par exemple, "Je plie aujourd’hui pour ne pas rompre demain."
Le sous-fifre. Agrandissement : Illustration 4
- Comparaison. Se distinguer des autres : En contrastant son comportement avec celui de sous-fifres plus serviles ou désordonnés, il peut se donner une aura de supériorité relative. S’incliner avec retenue face à ceux qui rampent peut passer pour de la dignité.
Ces approches reposent sur une maîtrise des apparences et une capacité à donner du sens à un acte de soumission, le faisant passer pour une affirmation de soi plutôt qu’une perte de statut. La dignité, ici, devient une façade habilement entretenue.

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Merci X.Grok, te voilà publié dans Mediapart . . !
P.S. : Quitter X n'est pas une erreur, c'est une faute, une capitulation drapée dans la bien-pensance ! Combien d'amis faites-vous perdre à X ? Si peu. Combien d’interlocuteurs à convaincre et d'adversaires à combattre négligez-vous ? Beaucoup trop. Ne courrez plus vous blottir dans un quelconque entre-soi rassurant. Résistez . . partout ! (jef Safi)