Ca y est.
Première coupure.
Un peu comme la première injection, preuve que nous appartenons au même monde, respirons le même air, souffrons des mêmes affres d’une vie politique affligeante de médiocrité et de cynisme.
Nous sommes officiellement dans un pays en voie de sous-développement.
Et nous devons remercier pour cela une classe politique indigente et irresponsable, de celle que l’on trouve dans de nombreux pays faillis.
Il est toujours temps pour nos « élites » de convoquer on ne sait quelle assemblée citoyenne à propos de la fin de vie.
La fin d’une vie, nous la connaissons d’ores et déjà.
Celle qui aura été le projet informel de plusieurs générations qui, à tous les niveaux de notre société se sont associés pour construire un environnement social et économique habitable, vivable pour la majorité des citoyens de ce pays.
Le néo-libéralisme est passé par là, depuis.
Il faudrait faire comme si tout cela ne pouvait pas trouver de responsable, aujourd’hui.
Les causes sont réputées anciennes ou nous échapper, maintenant.
Autrement dit, il va falloir faire œuvre de solidarité et de cohésion, demain.
Insupportable pour celles et ceux qui ont conservé un certain esprit critique, une pensée qui s’efforce de maintenir une bonne distance (de sécurité) vis-à-vis d’un environnement médiatique et social vecteur et source d’aliénation.