la fermeture du mythique laboratoire cinématographique LTC
Mérite qu'une enquête sérieuse soit faite sur les rapport de cet homme d'affaire avec le cnc et la Sarkosie.
; padding-bottom: 5px">Les amitiés dangereuses
color: #e80001; >Wassila |21-12-2011 18:49Il serait temps que l'industrie du cinéma et les ministères de la culture français et tunisiens s'intéressent de plus près au personnage Tarak Ben Ammar aux amitiés sulfureuses très éloignées des idéaux portés par la création artistique française et tunisienne. Comme par hasard une partie de son empire tombe, oui Quinta industries est touché mais pas Quinta communication que Tarak protège jalousement, quand les dictateurs du monde arabe tombent également. Car les amitiés de Ben Ammar lui avaient permis de construire son empire. Après son ami Ben Ali, dont il signa en véritable fayot l'appel des 65 pour qu'il se représente à l'élection présidentiel en 2014 alors qu'il venait d'être réelu en 2009, c'est au tour de Silvio Berlusconi (co-actionnaire de Quinta Communications) de tomber ; et il est aussi fragilisé par la révolution libyenne : en 2009, il avait reçu du régime de Khadafi, via le fonds souverain Libyan Foreign Investment Co, 19 millions d'euros soit 10% du capital de sa société.
Sans compter de plus avec certaines pratiques de Ben Ammar en tant que chef d'entreprise, de plus subventionnée, telle la controverse liée aux conditions de tournage d'Or noir de Jean-Jacques Annaud en Tunisie où Tarak Ben Ammar a des studios à Ben Arous en piteux état.Le personnel sur ce tournage s'est plaint " des conditions sociales iniques qui ont permis la réalisation de ce film". Le 21 septembre dernier, le syndicat expliquait que "la société Quinta Communication avait imposé aux ouvriers et techniciens de travailler en qualité d'expatriés via une société tunisienne, ceux-ci ne bénéficiant alors d'aucune couverture sociale et conventionnelle.
Il serait temps aussi que l'omerta journalistique se lève sur Tarak Ben Ammar et son groupe pour le bien-être et l'honneur des cinémas français et tunisien.
A moins que le nouvel époux de sa nièce Yesmine Torjman, le ministre français de l'industrie Eric Besson, ne soit sollicité pour le tirer d'affaire et redonner son image.