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Qui se préoccupe de savoir si l’islam a quelque chose à voir avec le terrorisme ?
Y a-t-il quelqu’un qui braque un revolver sur la tempe des politiciens occidentaux pour les forcer à déclarer après chaque attentat commis par un Musulman que « le terrorisme n’a rien à voir avec l’islam » ?
Les seules personnes qui se soucient de l’image de l’islam sont ceux qu’on appelle les Musulmans « modérés », qui cherchent à dédouaner l’islam de la terreur jihadiste et qui passent sous silence les atrocités commises depuis des siècles au nom de l’islam tout en accusant l’Occident d’être la cause du jihad par sa politique internationale.
De la même façon que les jihadistes, ils se moquent éperdument d’associer l’islam au terrorisme. En réalité, les jihadistes n’ont aucune gêne à revendiquer fièrement leur terrorisme. Ils aiment voir notre désarroi et notre confusion lorsque nous nous livrons au dilemme typiquement occidental de savoir ce qu’est l’islam et ce qu’il n’est pas.
Mais à présent, les leaders occidentaux rejoignent les rangs des Musulmans « modérés » dans leur volonté de dissimuler le véritable plan islamique. Tandis qu’ils se livrent à des déclarations de plus en plus outrancières pour défendre l’islam, en provoquant le dégoût des citoyens occidentaux qui eux sont informés, ils continuent à tromper les populations en accusant la mentalité occidentale de manquer de tolérance.
Le rôle des dirigeants occidentaux n’est pas de défendre l’image de l’islam ni de faire croire que celui-ci n’a rien à voir avec le terrorisme, a fortiori dans la mesure où la majorité des institutions musulmanes ont toujours systématiquement refusé toute condamnation de l’Etat Islamique au motif que celui-ci ne serait pas l’islam. En vérité, pas une seule grande Université, pas un seul dirigeant du monde musulman n’ont jugé l’Etat Islamique comme contraire à l’islam. Oussama Ben Laden est toujours désigné comme un cheikh et est tenu en haute estime par beaucoup de Musulmans, y compris par les medias arabes. Les dirigeants de l’Université d’Al-Azhar au Caire ne cessent de répéter au monde entier que si Al-Azhar condamnait l’Etat Islamique, cela reviendrait à se juger eux-mêmes et à juger leurs propres enseignements comme étant non-islamiques.
Alors, pourquoi le Président Obama et les Musulmans modérés qui sont si mal à l’aise continuent de nous matraquer de messages en faveur de l’islam ? La seule explication à ce parti-pris en faveur de l’islam et à cette volonté de montrer qu’il n’a aucun rapport avec le terrorisme est que cette attitude n’a pas du tout pour but de plaire aux Musulmans, comme beaucoup le pensent. En réalité, elle a pour but de dénigrer les Américains ignorants de ce qu’est l’islam afin qu’ils s’y soumettent et se résignent devant ses objectifs.
Le chef des supporters de l’islam, le Président Obama, a incité d’autres politiciens américains et d’autres dirigeants dans le monde à en faire de même, en punissant leurs concitoyens pour qu’ils acceptent la tyrannie islamique jusqu’à en être atteints mentalement. Pour ce faire, les dirigeants occidentaux n’ont aucun mal à user d’une logique tordue, telle que l’idée selon laquelle quelles que soient les mauvaises actions commises au nom d’Allah, celles-ci doivent être tolérées, car elles n’ont rien à voir avec l’islam.
Le virus qu’est cette logique déficiente a contaminé les esprits de presque tous les dirigeants politiques occidentaux ainsi que des médias, y compris de ceux qui sont censés nous informer et nous protéger comme le maire de Philadelphie, Hillary Clinton, la chancelière allemande Angela Merkel et le premier ministre canadien Justin Trudeau. Tous répètent la même chose dans le but de réduire leurs concitoyens au silence en les faisant accepter l’avènement de l’ère du multiculturalisme dans laquelle le non-respect du droit, le viol et la terreur doivent être tolérés et excusés, de peur que nous ne disions du mal de l’islam.
Les dirigeants occidentaux se conduisent comme s’ils étaient des otages de l’Etat Islamique, et, très sérieusement, ils attendent de leurs concitoyens occidentaux obéissants qu’ils les croient. Ils ne se contentent pas de défendre l’islam, il dissimulent ce qu’il est et minimisent le danger qu’il représente pour la liberté en Occident, pour la stabilité, pour le respect de la loi et de l’ordre.
Même les grands médias semblent imperturbables face à ce qui est en train de se passer et oeuvrent de concert avec les dirigeants politiques à discréditer ceux qui défendent la liberté et la vérité.
Le mécontentement et la peur fermentent chez la plupart des habitants des pays occidentaux qui se sentent sans défenses et effrayés par les objectifs de l’islam et par la perspective de perdre cette vie qu’ils menaient jusqu’alors dans une société bien ordonnée. Mais au lieu d’écouter ce message, les dirigeants occidentaux redoublent d’acharnement contre leur propres concitoyens pour les forcer à respecter tout ce qui est musulman et à les empêcher d’y critiquer quoi que ce soit.
Il est aujourd’hui évident que les attaques terroristes du 11 septembres ont atteint leur objectif islamique et ont fait des merveilles sur la psyché des Occidentaux. Le terrorisme est une vieille méthode arabe et un instrument de soumission, qui a lui-même fait des merveilles sur les Musulmans. Il est rapporté que même Mahomet a dit « J’ai vaincu par la terreur ». Maintenant que la plupart des dirigeants occidentaux ont capitulé, au lieu de se reprendre et de riposter contre la guerre que nous a déclaré l’islam, ils ont choisi de combattre leurs propres concitoyens.
Qui aurait pu un jour imaginer que cela arriverait à peine plus d’une décennie après le 11 septembre ? Qui aurait pu imaginer que partout en Europe et aux Etats-Unis on laisserait libre cours à l’islam avec son lot de viols, de terreur et de violence, et que les lois sur le blasphème contenues dans la charia, contraires aux Constitutions des pays occidentaux, seraient imposées illégalement aux habitants de ces pays ?
Le soutien à l’islam auquel se livrent les dirigeants occidentaux est devenu une véritable offense faite sur un mode pathologique à la majorité des Américains, en particulier aux familles et aux amis des victimes du terrorisme. Et en conséquence la seule explication logique à tout cela est que les dirigeants occidentaux sont vendus à l’islam.
Les abus qui sont commis sur les Occidentaux, non seulement par l’islam, mais aussi par les dirigeants politiques et leurs grands médias, doivent cesser, parce que cela nous mènera droit au désastre et que cela aboutira dans le futur à de violentes confrontations entre les forces de la liberté et les forces de la dhimmitude et de la soumission à l’islam.
Par Nonie Darwish