Que l'on songe que le hasard est un hasard.
L'image ne déforme pas nos sens, ce sont les sens qui déforment l'image.
Nous pouvons habiller les mots d'une même sentence : nous prenons ce qui nous touche, ce qui nous touche nous prend.
Je n'en suis qu'à mon premier café.
Excusez !
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Alors le feu. Écouter comme on regarde. Prendre son plaisir, s'il en fallait un. Ne pas nier alors, qu'une parole d'homme puisse s'habiller de flammes. Le jour fera chemin. Le chat restera plus longtemps. Nous sortirons dans l'astreinte.
Aiguisé, le couteau du travail.
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L'instant tombé du lit. Malgré fatigue de sable remué. Quelques bruits de la nuit qui reste encore, chants d'étoiles crasseuses. Alors, à noyer le rêve. Ouvrir au chat et la réalité est là, suffisante.
Je me souviens, un ami me disait : " - Nous dormirons lorsque nous serons morts. "
Donc ! Le livre et le café.