Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Je ne connais d'un mur, murmuré, que le son de son indulgence. Il ne sépare rien. Il n'est qu'une petite épreuve souriante, blasée. Celui-là donc, l’écueil, qui n'est que le front des vagues maladroites qui me sépare de toi. Je suis dans le flou du flux et puis plus rien d'autre n'importe. Et doux est son effet quand je le traverse et que je vois ton sourire déchirant le papier-peint muet.
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à faire flamber les cheveux blancs d'Onfray et sa gueule immobile à entarter diablement et ce jusqu'à la rate les grands pensants ces beaux messieurs qui boivent du vin bon sur canapés de bio légumes à déchirer les vieux hymens de ces glauques badernes qui glosent sur leurs néants revendiqués nulle bouche rouge rêche nul baiser donné à leurs froides lèvres serrées qu'ils aillent là où attendent les bouteilles emplies des feux de la révolte et qu'ils se déculottent aux premiers désordres de l'ordre
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rien ne marche plus vers la quête d'un sens tout concourt à sa perte aveugle et sourd l'âge à force aussi nous devenons muets
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