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Billet de blog 16 novembre 2009

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Paraskevidékatriaphobes, ou "le crime était presque parfait"

  Royal-Peillon : la vérité cachée Le crime était presque parfait. La méthode aussi car, s’appuyer sur les adhérents d’EAG (l’Espoir à gauche) pour faire croire que Ségolène Royal était au courant de sa mise à mort, puisque ce dernier avait obtenu 29% au Congrès de Reims, le tour du magicien d’Oz aka Peillon, surnommé aussi “le serpent” par ses détracteurs était presque parfait mais pas trop. Derrière l’ire, la colère et le courroux non dissimulés de Vincent Peillon, son visage déconfis depuis 3 jours déjà et son annonce à la Confucius ou à la Nostradamus, c’est selon, sur Ségolène Royal qui “ne pourra pas faire gagner la gauche en 2012″ s’étant elle-même “disqualifiée”, se cache semble-t-il, en réalité, un échec cuisant. Ambiance. Les reste à lire ici : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/royal-peillon-la-veritee-cachee-65091

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Royal-Peillon : la vérité cachée

Le crime était presque parfait. La méthode aussi car, s’appuyer sur les adhérents d’EAG (l’Espoir à gauche) pour faire croire que Ségolène Royal était au courant de sa mise à mort, puisque ce dernier avait obtenu 29% au Congrès de Reims, le tour du magicien d’Oz aka Peillon, surnommé aussi “le serpent” par ses détracteurs était presque parfait mais pas trop. Derrière l’ire, la colère et le courroux non dissimulés de Vincent Peillon, son visage déconfis depuis 3 jours déjà et son annonce à la Confucius ou à la Nostradamus, c’est selon, sur Ségolène Royal qui “ne pourra pas faire gagner la gauche en 2012″ s’étant elle-même “disqualifiée”, se cache semble-t-il, en réalité, un échec cuisant. Ambiance.

Les reste à lire ici : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/royal-peillon-la-veritee-cachee-65091

Moi, la dignité et l'autorité de cette femme au milieu de la cacophonie médiatique, de ce lynchage non pas de la responsable politique qui, elle, maintient son cap, mais de la vérité de ce qui s'est réellement passé à Dijon, travestie par les comptes-rendus récurrents sur les ondes et les "unes" de certains journaux, me ramene, malgré moi, à cette mélodie et à ses paroles:

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