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Salò ou les 120 journées de Sodome Pour une critique de la société de consommation Prologue « Mon premier Pasolini » fut Salò ou les 120 journées de Sodome. Quelques temps plus tard, le temps de digérer mes émotions, la question s’imposait à moi : Pourquoi un tel film ? Non pas que je n’aie pas aimé, même si « aimer » à proprement parler ce film relèverait à mes yeux du pathologique - et d’ailleurs, comme le dit Jean-Loup Passek, « un tel film, intrinsèquement, n’est pas fait pour être aimable » - mais qu’il me brûlait de saisir les fondements d’un tel extrême. Sans idée à l'époque sur Pasolini ni sur son oeuvre, excepté l'image d'un homme et d'un cinéma engagés, je me penchai bientôt sur ses Ecrits Corsaires afin de percevoir le sens d’une telle provocation. Aujourd’hui, apprivoisé par le cinéaste, mais également par le poète philosophe (et la liste est longue), je tente de répondre à mes interrogations passées. Peut-être quelque chose à découvrir du côté de l'art de la représentation. Et de la fiction, aussi terrible soit-elle.
A suivre...
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