En quelques lignes, une question sur la mise "en marche" d'un parti de gilets jaunes:
Quel est le rapport entre un nouveau parti de gilets jaunes, Bernard Tapie, Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron?
M. Bernard Tapie ancien ministre spéculateur boursier, ancien propriétaire de l'OM et patron voyou préféré du PS, ruiné, remonte à la surface au moyen de fonds publics, grâce à Madame Christine Lagarde ministre de la Justice, qui réunit un "tribunal privé" sur demande de Monsieur Sarkozy alors Président.
Reconnaissant, cet "homme de gauche" renvoie l'ascenseur en soutenant bruyamment N. Sarkozy aux présidentielles.
De nouveau riche il achète le journal "La Provence. Ce généreux et désintéressé patron de presse prête un local à un groupe de gilets jaunes qui aujourd'hui forme un parti dont on est curieux de savoir comment et par qui il sera financé . Sera-t-il aussi clair que le financement de la campagne du président?
Emmanuel Macron ancien collaborateur de Nicolas Sarkozy a gardé un bon souvenir de son séjour à la Cour du gang du 92, au point d'avoir appelé ce roi de la pègre déchu, comme conseiller officieux.
La politique du dernier président de la Cinquième république ressemble à s'y méprendre (jusqu'aux mimiques du personnage qui parfois lui échappent) à celle de celui qui voulait par exemple que "le travail paie" en le transformant en "travail au noir" pour les heures supplémentaires.
La liste "gilets jaunes" nommée "RIC" (encore un titre séduisant aussi menteur que les messages publicitaires ordinaires, et pollueurs de pensée) arrangerait les affaires de la triste et minoritaire majorité robotique LREM...