A Pékin, le chocolat se limite aux barres "snickers" ou "dove" des supérettes. Même les brownies du Pizza Hut de Guomao ont un goût de carton. Alors, pour Pâques, il y a l'option québécoise. Voici Laurier, un montréalais installé en Chine pour devenir chocolatier. Garanti sans sirop d'érable.
A Pékin, le chocolat se limite aux barres "snickers" ou "dove" des supérettes. Même les brownies du Pizza Hut de Guomao ont un goût de carton. Alors, pour Pâques, il y a l'option québécoise. Voici Laurier, un montréalais installé en Chine pour devenir chocolatier. Garanti sans sirop d'érable.
(Photos J.P)
Sa belle histoire est à lire dans un prochain numéro de L'Actualité, bimensuel québécois. Le dernier chocolat n'est pas de lui, mais d'un ado qui participait à son atelier de décoration d'oeufs itinérant (dans l'une de ces incroyables écoles d'expatriés à la sortie de la ville, à 10 000 dollars par an, mais intégralement payés par l'Etat depuis une promesse -tenue- de Nicolas Sarkozy aux parents expatriés français... oups, c'est un autre sujet).