Le pouvoir destructif de la haine est donc d'un facteur multiplicateur de l'ordre de 3'500. Mais le vice du malin génie se trouve dans le caractère pandémique si plus d'un des 250 proches ou un des 50'000 spectateurs devient haineux.
Tous les 50'250 doivent donc pardonner au terroriste. Ce terroriste n'a pas su pardonner aux bombes qui ont été lancé dans son jardin et ont tué un des ses 2 enfants et mutilé son amour.
Tous ceci parait impossible et pourtant en 1946, plus de 200 millions ont du le faire. L'ultime souffrance collective oblige alors au pardon sous peine d'anéantissement de l'humanité. Pour 2 ou 3 générations la leçon est retenue, le nombre de terroriste résiduel est alors très réduit.
Mais la fragilité réside dans le fait que le pardon est contraint et point compris. L'intelligence collective n'est donc qu'apparente et pas "sincère". Après 2 ou 3 génération, le taux de pardon passe de 99,9% à 97% et c'est à nouveau l'enfer sur terre.
Le pardon est donc la clé n°1 du destin de l'humanité. Mais ceci est insuffisant à la paix, car il est nécessaire:
2°_ d'aller à l'encontre des situations qui sont génératrices de haines,
3°_de soigner les haines naissantes avant qu'elle ne deviennent vengeance.
Ceci donc à propos des grands terroristes et les moins terrifiants également médiatisés.
Mais il y a aussi:
le conjoint qui reproche à l'autre que l'enfant de 2 ans qui s'est brûlé le bras par la casserole d'eau bouillante est de la faute de X.... Puis, que pendant la journée de travail ce papa chef d'équipe est irritable et se défoule sur Y.... Ce dernier rentre chez lui en donnant un coup de pied au chat qui se sauve et renverse la casserole d'eau chaude sur le bras de Z...
Superficialitéssss et point de pardon, pourraient avoir causé: 1 licenciement, deux blessés et un divorce.
Certes dans ce cas la gravité n'est pas de 3'500 mais le taux pandémique bien plus important.
Conclusion:
La clé du paradis est disponible et proche. Chaque jour chacun peu participer à le faire ou le défaire.
L'équilibre n'est pas dans à 97% "Je fais bien" alors à 3% "Je peux être superficiel, préjuger, médire, ..." car là, le paradis devient le chaos, voire l'enfer.