
Le propos initial de l'article paru dans Ouest-France était une information sur le changement de règles à partir de janvier quant à la délivrance des génériques.
"À compter de mercredi 1er janvier, il ne suffira plus que le médecin indique non substituable sur son ordonnance pour obtenir le médicament princeps (avec marque) remboursé au maximum. Celui-ci devra justifier cette mention par une raison médicale." source Ouest-France Donc une information intéressante que les malades s'empressent de lire, puisque devenus maintenant très attentifs aux articles "santé".
Mais quelques lignes plus loin, le journaliste Philippe Richard souligne que "les exceptions ne pourraient concerner que la prescription de médicaments à marge thérapeutique étroite (dont la liste des principes actifs est bien précisée), en cas de contre-indication « formelle et démontrée » à un excipient présent dans tous les médicaments génériques disponibles."
Et de faire l'analogie avec le Levothyrox avec cette affirmation inacceptable et infondée :
"Ça va grogner dans les pharmacies. Quand on voit l’ampleur qu’a prise l’affaire du Levothyrox (qui, à preuve du contraire, a une origine psychosomatique), on peut s’attendre à quelques vagues d’effets indésirables aux causes non déterminées dans les semaines et mois à venir."
Dès la lecture de l'article, les victimes en colère, ramenées encore aux commentaires de 2017, nous ont contactés afin de réagir à celui-ci !
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