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Billet de blog 3 février 2022

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Les antivax, la science,l’argent et la politique.

Les antivax sont de fait classés anti-science, je propose d’analyser ce rejet sous un autre prisme.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Alors que les antivax sont souvent représentés comme des combattants d’arrière garde, il faut remettre cette défiance en perceptive des scandales sanitaires de ces dernières années. On peut se rappeler du scandale de l’amiante, de l’enterrement par les distributeurs de pétrole des recherches sur le climat, des scandales de l’intoxication à grande échelle de la nature par les chimistes et de leur petits bras les agriculteurs, du sang contaminé, médiator etc.

On voit donc dans tous ces scandales l’utilisation de la science comme paravent à des politiques qui n’ont qu’un objectif, laisser le business se faire, les « entrepreneurs » s’enrichir pour le bien de toutes la société. Sur ce constat, on peut donc déduire que l’état facilite de manière systématique les circuits de l’argent au détriment du bien être de la société. Et les antivax ? Voilà une première raison pour laquelle les antivax ou du moins une partie à peur des commandements d’un état central qui ne doute de rien, sinon qu’il faut payer cher ces vaccins.

En d’autre termes, l’état à créer les conditions de la défiance des personnes à l’encontre des sciences et techniques.

Comment fonctionne la recherche et l’investissement en la science. Comme un chercheur d’or, une entreprise va prospecter les secteurs scientifiques qui pourrons lui rapporter le plus d’argent. Ainsi toutes les maladies rares sont quasi systématiquement délaissés. Et si le filon est bon, alors c’est la fortune comme pour les vaccins contre le COVID19 ou encore les traitement du foi contre l’hépatite. Traitement qui est vendu à près de 100000 Euros le traitement. La science est donc le nouveau far west ou l’on trouve des mines d’or. Comme ces recherches sont longues et souvent difficiles, l’état abonde les maigres investissements privés pour et la plupart du temps sans contrepartie. C’est qui tout bénef pour ces entreprises.

En d’autres termes, les chercheurs ne cherchent pas pour le bien de l’humanité, mais seulement pour les bénéfices de leurs employeurs. C’est surtout vrai pour les recherches pouvant donner des avancées directes. Les recherches fondamentales se font à fond perdu et financés par les états, car il n’y pas de bénéfices en jeux.

Dans ce cadre et à force de répétition, beaucoup de personnes sont donc amenés à rejeter la science qui dans la plupart des cas leur apporte plus de dégradation de leur mode de vie que de bénéfices. On peut noter la difficulté les victimes à obtenir réparation, voir le fameux scandale Médiator, ou les intoxications par le glyphosate etc. L’état met un frein systématique à la juste réparation des préjudices fait au non des avancés technologiques.

Les antivax et plus généralement les anti-science sont des mouvements réflexe de préservation de l’existant contre l’injonction d’un état aveuglé par son besoin de créer des activités financières qui lui rapporterons de maigres impôts, car s’il y a argent il y a optimisation fiscale.

Pour conclure, le président déféqueur va pourvoir investir dans la production de laxatifs, car c’est un marché en plein développement.

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