Je vois que mon cours du 17 a été « supprimé » : à la place, ces mots sibyllins : « Information orientation ». Bon. Je renonce au contrôle que j’avais programmé ce jour-là (eh oui, il faut évaluer… Parcoursup is watching you). Je le ferai une autre fois, me dis-je. Les élèves seront contents. Mais qu’est-ce que c’est que cette « Information orientation » ? Je fouille dans mes mails… pour découvrir que ce jour-là, article 1... Pff, encore un rappel du règlement intérieur ? Mais non, j’ai lu trop vite : c’est l’association « Article 1 » qui viendra assurer une séance auprès des Terminales.
Ah, l’orientation… Sujet sensible s’il en est, crucial pour les élèves et les familles, qui s’inquiètent, à juste titre. Et donc, comme toute inquiétude génère un marché potentiel, propice à de multiples offres. Normalement, dans l’Education Nationale, nous avons (ou faudrait-il écrire : nous avions ?) un service public dédié à l’orientation : des « conseillers d’orientation psychologues », rebaptisé-e-s « psychologues de l’Education Nationale », des Centres d’Information à l’Orientation… supprimés par dizaines depuis des années, et dont le précédent Ministre avait même annoncé le démantèlement. Depuis longtemps maintenant, ce sont les professeur-e-s qui sont mis-e-s à contribution pour effectuer une partie des missions de conseil. Ce qu’on appelle, dans le jargon, « accompagnement personnalisé orientation » : soit, en réalité, quelques séances dans l’année… souvent à 16 ou 17 élèves. Du « personnalisé » un peu collectif. Autant dire, et c’est un secret de Polichinelle, que le service public ne répond pas, ne répond plus, à ces inquiétudes des familles. Autant soigner un Covid long avec des bonbons à la menthe. En attendant que la Région prenne les affaires en main[1], une dream team, jeune, french touch mais « agile », a glissé un pied dans la porte. Hacking du service public ? Ou partenariat harmonieux, pour un avenir radieux ? C’est quoi au fait, « Article 1 » ? Un article du Code de l’Education ?
On nous demande d’assister à la séance mais ce n’est pas nous qui intervenons : laissez faire les professionnels ! Le jour dit, l’équipe s’installe : permanent-e-s de l’association, gentil-le-s bénévoles venu-e-s témoigner de leur expérience professionnelle. C’est pour la bonne cause. Je me trouve une place au fond de la salle et écoute poliment. Les élèves me font de petits sourires, mais je me sens un peu de trop. Des post-it sont distribués pour le brain storming, on pose aux élèves un petit questionnaire, on organise un débat mouvant. Rien de scandaleux, ni dans les contenus, basiques, ni dans les méthodes, classiques repris de l’éducation populaire… ou du coaching d’entreprise, cela dépend. C’est détendu, le rythme est assez tranquille ; c’est vrai que les élèves sont moins stressé-e-s qu’avec un-e prof, d’ailleurs ça part un peu (beaucoup) en vrille par moments... Pas si évident de captiver un public d’ados ! Je ne peux me défendre d’un fugace sentiment de jubilation perfide.
Bien sûr, les « témoins » venu-e-s de la société civile n’ont pas une connaissance très poussée ni du système éducatif, ni des différentes filières, mais ils-elles ne sont là que pour parler de leur propre filière : ce n’est déjà pas si mal après tout. A la fin, bien sûr, petit questionnaire de satisfaction, et surtout, n’oubliez pas : si vous avez aimé, vous pouvez nous retrouver en ligne, sur notre site ! Au cas où les élèves oublieraient, on leur distribue un petit document avec de nombreux QR-codes qui renvoient au site d’Inspire (la plate-forme orientation d’Article 1). Et, en guise de vademecum, des liens vers des ressources en ligne : ô surprise ! l’Onisep… qu’on ne s’attendait pas à retrouver ici ; « vos enseignants » (merci pour elles-eux)… et le site Parcoursup ! Tout ça pour ça. Finalement, le serpent se mord la queue : on a fait entrer le privé (financé il est vrai en partie sur fonds publics) à l’école pour qu’il renvoie les élèves (en partie du moins) vers le service public. Mais sans oublier de mettre en avant son propre site quand même.
Multiplier les « partenaires »
Ah bon, ce n’est pas une association d’éducation populaire alors ? On aurait presque le doute : « Article 1 accompagne les lycéens et étudiants issus de milieux populaires, avec la conviction qu’il faut faire grandir tous les talents de France pour renouveler les visages et la vision de la réussite, sans considération d’origine sociale, économique, territoriale ou culturelle ». On dirait un programme électoral. Comment ne pas souscrire à de si belles convictions démocratiques ? Vous ne voulez pas aider les élèves défavorisés, vous ? Autoprésentée comme « née de la fusion de deux associations majeures de lutte contre l’inégalité des chances », Article 1 a été cofondée par un ancien diplômé de l'Essec (y a-t-il connu Jean-Michel Blanquer, aujourd’hui « parrain » de l’association[2], à l’époque où celui-ci en était le directeur général ? En tout cas ils sont maintenant côte à côte sur la photo) et aussi, d’ailleurs, ancien de Mac Kinsey (après être passé, excusez du peu, par la Cour des Comptes et par Bercy), et un ex-DRH de SFR, Bouygues et Apple. Ces deux entrepreneurs ne cachent pas que leur projet « associatif » repose sur une vision plutôt décomplexée du partenariat, assez éloignée des habitudes de l’éducation populaire. Officiellement habilitée à récolter la taxe d’apprentissage (celle-là même dont la part versée aux lycées a été fortement réduite[3]) et bien entendu les dons de mécènes, Article 1 revendique en outre pas moins de 130 « partenaires » entreprises : Amazon, l’Oréal, HSBC, Goldman Sachs, et j’en passe, sans compter les fondations… et les nombreux « partenaires » publics (6 ministères, 4 collectivités territoriales, entre autres). Tout cela, et surtout la participation active de 32 000 bénévoles (qui, comme leur nom l’indique, n’ont pas besoin d’être rémunéré-e-s) permet de proposer des prestations gratuites.
Le modèle d’Article 1, comme de nombreuses officines de ce genre, dont le modèle à but non lucratif semble rassurant, et les intentions généreuses, c’est le « contrat à impact social ». Une formule obscure, que peu de gens connaissent, mais qui rencontre un succès grandissant, depuis les premières expérimentations dans les prisons du Royaume-Uni il y a une dizaine d’années. A l’époque, il s’agissait de proposer un programme de lutte contre la récidive. Sur le papier, c’est épatant : aux mots « social » (voire, en France « social et solidaire »), et « accompagnement personnalisé », censés garantir les intentions chaleureuses de ce genre de dispositifs, on accole d’autres mots, plus entrepreneuriaux, censés, eux, rassurer les marchés : « programme », « score », « mesure d’impact » et surtout, « investisseurs ». Des « acteurs socialement innovants » proposent des « solutions alternatives » aux actions étatiques, jugées lourdes et coûteuses. Le remboursement des investissements est conditionné à la réussite du programme, d’où l’importance de l’évaluation. C’est au cabinet de Benoît Hamon, en charge de l’Économie sociale et solidaire, que l’on doit, en France, le lancement de ce dispositif en 2016. L’idée est assez simple : obtenir des levées de fonds de la part de fondations privées et de « fonds de dotation », dans un montage complexe, qui permet, entre autres, à l’Etat (qui met tout de même la main à la poche) de se désengager partiellement, et donc de présenter des comptes publics moins déficitaires. Chômage, intégration des immigrés, prison… et bien sûr éducation sont autant de terrains d’application naturels de ce mode opératoire, désormais fort répandu[4]. Après tout, il y a belle lurette que les établissements hospitaliers, y compris publics, ont ouvert leurs portes à des financements industriels. La question de la contrepartie se pose[5], mais ce n’est pas la seule. Il y a aussi celle des méthodes utilisées, et, bien entendu, du mode d’évaluation, ainsi que de ses conséquences sur les pratiques. La pression aux résultats est-elle un moteur ? Dans le domaine social ou éducatif, ne risque-t-elle pas d’avoir quelques effets pervers ?
Concernant Article 1, on ne va pas tarder à avoir le retour sur leur première expérimentation sur la lutte contre le décrochage en zones rurales, menée en partenariat avec BNP-Paribas depuis 2018 dans deux régions[6]. Bien entendu, personne ne dira qu’il s’agit de se substituer à l’action de l’Etat : non, soyons rassurés, le programme vient toujours « en complémentarité » de l’Education Nationale[7]. Si près… tout contre ?
Et, pour ceux et celles qui auraient des doutes, l’article 1 en question n’est autre que celui… de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. Rien de moins.
« Notre ambition est de décupler notre impact »
Quand j’en parle, pourtant, personne ne connaît. Article 1, kesako ? C’est étonnant, car la start-up est bien loin d’être une petite structure anecdotique, et ne cache pas ses ambitions. Mais si Article 1 avance ses pions très vite, et à la hussarde, ce n’est pas en se faisant connaître du monde enseignant, dont elle n’a probablement pas grand-chose à faire. En revanche, la plupart des Proviseurs en ont entendu parler, surtout que cette association est labellisée et partenaire du Ministère, et présente sur la plate-forme Parcoursup. Lors de sa création, en 2018, Inspire/Article 1 était même le seul et unique dispositif d’aide à l’orientation labellisé par le Ministère : un privilège remarquable, et qui force l’estime. Dès 2018, les subventions gouvernementales accordées à Article 1 étaient de 1,8 million d'euros par an, sans compter les aides de la part des Régions[8]. A y regarder un peu vite, le discours tenu sur le site supporte la comparaison avec des associations « historiques » et militantes, comme la Ligue de l’Enseignement, les CEMEA ou le GFEN. Celles-là même qui rament chaque année pour obtenir un renouvellement de leurs subventions : le GFEN, par exemple, a perdu 50% de ses subventions en trois ans…
Mais le business model, et surtout la philosophie générale d’Article 1, sont aux antipodes. Ici on ne manque pas de moyens, on n’est pas des losers. L’objectif, c’est justement de viser grand, et même… dix fois plus grand : « Notre ambition est de décupler notre impact en accompagnant non plus 10 000 mais plus de 100 000 jeunes issus de milieux populaires vers leur réussite en 2021 » déclare l’un des deux fondateurs. Et le jargon est au rendez-vous : « Avec l’appui de French Impact, nous allons investir sur notre programme Jobready de valorisation et de développement des soft skills qui sont un enjeu clé pour l’éducation et l’emploi de demain ». Prière de recourir à un logiciel de traduction. Jobready, c’est une autre plate-forme développée par l’association… dédiée, cette fois, au bilan de compétences en ligne. Décidément, Article 1 ne manque pas d’initiative(s). Mais grâce à la nouvelle labellisation French Impact, l’association à but non lucratif a heureusement eu droit à « un package d’accompagnement sur mesure pour l’accompagnement au changement d’échelle (financement du plan de croissance, etc). ». Mais tout cela… au nom de « l’égalité des chances ». Quoi ? Vous avez quelque chose contre l’égalité des chances ?
La question qu’on pourrait se poser, c’est de savoir si Article 1 réunit réellement toutes les garanties que l'on pourrait souhaiter. Début 2019, la ministre de l’Enseignement Supérieur et de la recherche elle-même avait demandé à l’Inspection générale un rapport sur Article 1… rapport qui n’a jamais été rendu public. La Cour des Comptes, dans son rapport de 2020 sur le fonctionnement (jugé opaque) de Parcoursup, s’est émue, quant à elle, du rôle d’Article 1 dans la gestion des données des utilisateurs. (Etonnant, alors que l’un des deux co-fondateurs est un ancien du sérail ) La gestion des données. Qu’est-ce à dire ? C’est qu’Article 1 aurait aussi accès aux données des candidats de Parcoursup. Un article du Canard Enchaîné de 2020 sème également le doute[9]. Basé sur le fameux rapport de la Cour, il révèle qu’Inspire aurait donc accès à l’ensemble des vœux d’orientation de tou-te-s les bacheliers de France (ainsi que des autres utilisateurs), mais aussi à leurs dossiers scolaires, sinon à des données personnelles. « Leur exploitation (…) permettrait à l’administration et aux chercheurs de proposer des pistes pour améliorer l’orientation, l’affectation et la réussite des étudiants », selon le rapport. Il faut bien vivre avec son temps. D’ailleurs, quand on s’inscrit sur Jobready, on doit d’abord répondre à quelques petites questions, bien légitimes puisqu’il s’agit d’identifier les compétences… heu, pardon, les soft skills.
Maître Yoda ou spin doctor ?
Sur Jobready, faute de bénévoles, on a juste affaire à un chatbot, le gentil toucan. « Je t'écoute, as-tu une idée d'expérience à me raconter afin que je la traduise en soft skills? un job, un loisir, un projet ... » En fait, l’algorithme propose une simple batterie de questions, assez indiscrètes (mais c’est le concept), et reformule en langue de bois managériale la passion de Léa pour le poney ou le job d’été de Maxime chez Auchan. Il est vrai que les bilans de compétences par des cabinets privés sont très chers, et bien hors de portée des élèves de milieux défavorisés. Ici les aides pour rédiger un CV ou une lettre de motivation (rendue incontournable par la procédure Parcoursup) sont gratuites. En même temps, les skills identifiées n’ont rien de bouleversant. C’est même un peu cheap. On a fait le test : pour une expérience de vendeur au rayon poissonnerie, on obtient « ouverture socioculturelle », « empathie » «gestion de l’incertitude et du changement ». Pour un profil où l’on renseigne systématiquement « non » à toutes les questions : « confiance en soi », « autonomie » et « fixation d’objectifs »… Mais le tout, c’est de savoir se vendre : et ça, Article 1 sait très bien le faire.
Surtout, Article 1 sait vous accompagner. « Ce dont le jeune a le plus besoin dans le cadre de l’accompagnement, c’est de se sentir encouragé et soutenu. Alors n’hésitez pas à lui partager votre enthousiasme ! »[10] Car le fin du fin, après l’aide à l’orientation et la lettre de motivation, c’est le mentorat, cœur de métier d’Article 1. Quoi ? On ne dit plus coaching ? Mais non, coaching est trop connoté, pas forcément rassurant. Mentorat, c’est mieux pour l’égalité des chances. Moins spin doctor, et plus Maître Yoda. Vous voulez participer à cette grande « aventure humaine », « devenir mentor pour aider un jeune à grandir » ? Vous pouvez le faire, bénévolement bien sûr. Grâce au dispositif « Un jeune, un mentor » lancé par le Président de la République lui-même, où chacun-e peut s’inscrire en quelques clics. Et qui renvoie à des associations… dont, on l’aura deviné, Article 1, « lauréate principale missionnée par le gouvernement »[11]. L’enjeu est de taille. « Nous n’avons négligé aucun moyen (dont beaucoup en pro bono) », déclare, avec une satisfaction non dissimulée, la directrice générale déléguée communication et développement[12] : « les panneaux d’affichage, les pubs TV, les influenceuses comme Natoo et Fatou. Sans oublier la presse,
avec notamment la presse quotidienne régionale qui a beaucoup mis en avant le mentorat et Article 1 ».
Chacals et girafes
« Empathie », « feedback non violent », mise en confiance… Ce sont toutes les ficelles de la psychologie positive, les vieux mantras du coaching behavioriste, qui sont déclinés de façon simplissime à l’aide de petits dessins et de QCM. « Formez-vous en 11 minutes chrono » annonce la plate-forme. Tout le monde peut s’inscrire : c’est démocratique ! Les leçons ne durent pas longtemps, et il n’y a personne au bout de la ligne. On apprend, par exemple, mais c’est un basique que tous les coachs connaissent, la différence entre agir comme un chacal et penser comme une girafe. Vous ne connaissiez pas ? Eh bien, le chacal « au ras du sol, caché dans les hautes herbes (…) vit dans la peur ». Un peu trop action/réaction, le chacal. Il répond du tac au tac. La girafe, elle, domine la situation. « Son long cou lui permet de prendre du recul ». Ben oui. Du coup, elle prend son temps, mais elle est plus sympa que le chacal. C’est ça la pédagogie du XXIe siècle. Chacal, pas bon. Ne pas voler le goûter du « jeune » qu’on est censé tutorer. Dans l’Education Nationale, ils ne savent pas ça. Tous des chacals. Mais à Article 1, on sait. Et on voit loin, comme les girafes.
Reste le principe du conditionnement stimulus-réponse, cher aux adeptes du management comportemental. « C’est le principe du renforcement positif : si vous valorisez des comportements positifs (une prise d’initiative, une idée de projet…), ils seront plus fréquents ». La science (pas les sciences sociales, attention !), la science qui connaît vraiment le cerveau, sait que nous ne sommes guère que des grenouilles améliorées. Rien ne vaut un bon renforcement à la Pavlov. Donc, encourageons notre jeune, comme de braves girafes.
Me voici (déjà ?) à la fin de ma "formation". Je n’ai plus qu’à attendre qu’on m’attribue un « jeune », « mon jeune », pour « matcher » avec lui-elle. Ce sera une surprise. Mais dans l’égalité des chances, il y a une part de chance, non ? Bien entendu, personne ne m’a demandé, jusqu’à présent, de vérifier mon identité, le CV sommaire et les « skills » que j’ai renseignés : cela viendra… sans doute. S’il venait à l’esprit d’un ou une chacal-e de mettre un faux CV, par exemple, ou, pire (mais il y a tellement d’esprits dérangés de nos jours), d’utiliser ce « matching » à des fins autres que pédagogiques, que se passerait-il ? J’avoue ne pas avoir eu la patience d’attendre : j’ai 175 élèves à motiver, par paquets de 35, et pas d’autre sponsor que Doliprane. L’important, c’est la « relation de confiance »… un peu comme chez Uber. Ou, quand même, on est (un peu) payé.
[1] La loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » du 5 septembre 2018 prévoit de transférer la compétence aux Régions.
[2] « Article 1 est à la jonction entre plusieurs de mes missions (…) C’est un travail en continu que l’on doit faire pour permettre aux élèves de tous les milieux d’aller plus loin dans les études supérieures. » Jean-Michel Blanquer, Ministre de l’Education Nationale et parrain de l’association pour French Impact, en ligne sur le site https://article-1.eu.
[3] Par la loi du 5 septembre 2018, au profit notamment des CFA (centres de formation d’apprentis)… et d’associations comme Article 1 ?
[4] Voir le rapport du Centre Français des Fondations de 2019, consultable en ligne : https://www.centre-francais-fondations.org/wp-content/uploads/2022/06/CFF-et-liLab-Le-role-des-fondations-et-fonds-de-dotation-dans-linvestissement-a-impact-social-en-France-janvier-2019.pdf
[5] Dans le cas du scandale des « Implants Files » par exemple, en France en 2018.
[6] https://group.bnpparibas/actualite/contrat-impact-social-bnp-paribas-1
[7] https://article-1.eu/actualites/lassociation-article-1-lance-le-premier-contrat-impactsocial-les-zones-ruralesau-coeur-de-lexperimentation/
[8] https://www.liberation.fr/france/2019/05/29/education-inspire-une-plateforme-tres-orientee_1730501/
[9] Jérôme Canard, « L’opérateur privé qui se régale des données personnelles de Parcoursup », Le Canard enchainé, 18/03/2020.
[10] Extrait de la formation “Les bases de la posture du mentor” délivrée en ligne par l’association Article 1, pour les « mentors » bénévoles… et novices.
[11] https://article-1.eu/actualites/1-jeune-1-mentor-article-1-laureate-principale-missionnee-par-le-gouvernement-pour-passer-de-2-000-a-20-000-binomes-dici-decembre-2021/?doing_wp_cron=1676654232.3747189044952392578125
[12] Rapport d’activité 2021-2022, en ligne : https://article-1.eu/wp-content/uploads/2022/12/ARTICLE-1_RA-2021-22_PAP_BD.pdf.