Nous l'aurions su depuis longtemps, si le ridicule tuait.
Toute honte bue, l'auteur du rempilage fait preuve d'une bravade simpliste et inutilement génératrice de ferments à même de faire redouter le retour des vieux démons.
Le cynisme nauséeux et irresponsable d'un tricheur confinant à l'obstination pyrrhussienne, sonne le glas de la répétition d'une pièce aux actes taillés à la serpe, faisant ainsi la part belle à des scènes sanglantes, façon pièces noires d'Anouilh.
Cette personne, dont l'écriture et la prononciation du nom me sont depuis proscrits par mon confort psychique, est si infatuée de sa petite personne qu'elle est parée pour des drames humains inquantifiables, dans le seul dessein de poursuivre son travail de sape au détriment de tout un pays.
Quand je pense qu'il est encore des irréfléchis et autres renégats de la même fibre pour soutenir la morale exécrable et l'insoutenable cruauté de la bête, je vomis.
La rengaine des toussotements des chars du froid
rivalise avec une armée de poitrinaires jetés dans les cales d'un sanatorium pour des noces de sang.
Les enfants affûtent les tendons fléchisseurs pour mieux agripper les pagnes.
Les femmes s'accrochent à l'espoir d'avoir gardé intacte la flexibilité de la fosse poplitée, depuis le dernier exode.
Les vieillards, eux, s'arc-boutent à l'idée de transférer le souffle à ceux qui prennent le relais d'une carrière de coureur de fond.