Les experts véreux et la corruption de la Justice :
La création illégale d’un droit de passage (un trouble de jouissance) pour vous forcer à vendre votre maison.
Si vous avez lu mon précédent article concernant l’annulation de la vente d’une maison, vous commencez à penser que la corruption judiciaire est imparable, du fait de la subordination systématique des experts corrompus à des juges malhonnêtes.
En ce qui concerne le foncier, il y a des actes faisant foi (les actes notariés, par exemple) et des textes de loi qui « dépassent » ce qu’un expert corrompu pourra écrire.
L’expert donne un avis, mais l’avocat de la partie adverse devra malgré tout démontrer que son client possède le droit (par exemple) de traverser votre propriété.
On peut conclure que le poids de l’expert corrompu est moindre, même s’il participe à la persécution du justiciable permise par la corruption de la justice.
Par exemple, un Juge peut demander à ce qu’un géomètre expert se fasse remettre les actes de propriété des deux parties et effectuer un bornage lorsque les limites entre deux voisins sont peu matérialisées.
C’est la mission de l’expert, écrite noir sur blanc dans l’ordonnance du juge.
Sauf que ce dernier va écrire, sans aucun lien avec les actes notariés qu’un droit de passage doit être créé sur la propriété de la personne attaquée, qu’une partie de son terrain doit être « donné » à celui qui attaque pour des raisons « délirantes », avec des schémas supposés expliciter cela.
La différence, c’est que la mission pour le juge corrompu est plus complexe si les actes de demandeurs ne mentionnent pas de droit de passage, avec le contenu d’articles accessible à tous (l’article 693 du Code civil précise qu’un droit de passage perdurera au-delà d’une vente s’il a été créé entre deux propriétés par un seul et même propriétaire), le contenu d’actes (une donation partage qui prouve que le droit de passage réclamé a pu exister à une période mais n’a plus d’existence actuellement, car mis en place dans une situation d’indivision successorale).
Dans ce cas, accorder un droit de passage (ou une spoliation de propriété) par un juge corrompu ouvre la possibilité à la saisie du CSM, le Conseil Supérieur de la Magistrature, avec des preuves ne souffrant d’aucune contestation possible.
A ce propose, une réforme de la Justice entreprise par l’actuel Garde des Sceaux, l’ancien avocat Dupont-Moretti (qui connaît donc très bien la corruption des magistrats) visent à renforcer les sanctions envers les juges malhonnêtes (la « responsabilité » de ces derniers).
Faites une recherche sur internet et vous verrez à quel point les média se désintéressent de ce projet de loi essentiel, ou l’occulte par connivence avec la justice corrompue.
Merci de m'avoir lu: je suis joignable à l"adresse suivante pour vous faire parvenir l'ensemble des preuves écrites en ma possession (martin.foucaud@gmx.fr)