Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Par ces temps de froidure, il convient de veiller au bien-être de nos vaillants sportifs, dignes représentants de « La France qui gagne », courageux risque-tout au service de l'image internationale de notre si beau et si accueillant(?) pays. Nous devons donc leur assurer une alimentation saine, complète et suffisante. Quoi de mieux dans ce cas qu'un Cassoulet magistral, gratiné, bouillonnant à petits frissons au sortir du four, fondant à souhaits, mêlant la saveur du confit d'oie à l'onctuosité du haricot sous le palais ? Il se trouvera bien un restaurateur ou un charcutier traiteur en mal de publicité, Gersois, Toulousain ou Chaurien pour offrir une parfaite interprétation de cette roborative œuvre d'art à Jo Wilfried Tsonga. Pourquoi lui me direz-vous ? Je n'ai absolument rien contre Monsieur Tsonga, il est parfaitement respectable, voire admirable. C'est juste pour ne plus jamais l'entendre dire, avec un air de chien triste et un sourire contraint : « Tiens, j'ai une p'tite faim »
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.