La sécurité sociale a t-elle pour but de permettre à tous d’avoir accès aux soins ou simplement de permettre aux laboratoires et fabricants de matériels médical de s’enrichir facilement ?
Si vous avez une affection de longue durée, les soins sont pris en charge en presque totalité. Formidable me direz-vous, mais non tout n’est pas si rose dans le dernier pays communiste du monde. En effet, pour que la sécurité sociale prenne en charge le traitement dont vous avez besoin, ilfaut que celui-ci figure dans une liste rédigée auparavant.
Or, au 21ème siècle, les progrès scientifiques sont si rapides que le plan n’est jamais en adéquation avec les dernières découvertes.
Nous malades, devons, au mépris du serment d’Hippocrate, subir les effets secondaires de médicaments approuvés par la nomenclature, qui nous rendent la vie encore plus difficile, sans toujours bénéficier des bienfaits de ceux-ci.
Posons nous alors la question du pourquoi de cette nomenclature et surtout à qui profite le crime.
La nomenclature est censée éviter les abus (discourspolitique), il est en fait la mise en place d’un système policier rigide qui complique la vie des malades. Vous devrez en fait pour chacune de vos démarches, remplir et faire valider par votre médecin le même document (prévu par le plan) des dizaines et des dizaines de fois. Lorsque vous serez poussé à bout par ces pratiques dignes du système nazi, vous arrêterez de vous soigner. Et voilà le but est atteint et le plan remplit à merveille sa fonction principale : Que l’état fasse des économies sur la santé du contribuable. Mais alors qui bénéficie réellement de ce système ?
Economiquement parlant, il est très intéressant pour unesociété pharmaceutique de faire reconnaître un de ses produits par la nomenclature. En effet, une fois reconnu le dit traitement est en position de quasi-monopole.
Et continuant sur ce principe, ce qui est une aberration évidente devient une évidence économique et sanitaire. Pour vous conforter dans cette réalité il suffit de regarder les petites lignes sur la valeur clinique des produits pharmaceutiques vendus à la télévision sur des populations tests inférieures à 100 personnes. Par contre, pour être valider scientifiquement des tests pratiqués sur plus d’une dizaine de milliers de personnes à travers le monde ne sont pas suffisants.
Combien de temps encore devront nous encore rester maladespour le bonheur unique des laboratoires iniques.
Les laboratoires récompensent-ils les chercheurs ou les actionnaires, la réponse à cette question vous donnera leur raison d’être.