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Billet de blog 20 mars 2013

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Discours présidentiel à venir (extraits)

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

"Avec mon gouvernement, j'ai donc pris la décision de mettre nos affaires en ordre réellement et profondément. Le budget en est l'occasion, peut-être ultime, très bonne en tout cas. Nous avons adopté et, demain, nous appliquerons tout un ensemble de mesures financières, économiques, sociales, qui établit la nation sur une base de vérité et de sévérité, la seule qui puisse lui permettre de rebâtir sa prospérité. Je ne cache pas que notre pays va se trouver quelque temps à l'épreuve. Mais le rétablissement visé est tel qu'il peut nous payer de tout.

Au point de vue des charges publiques, rien ne saurait être accepté qui aboutisse à l'inflation. Mais, en même temps, tout doit être fait pour poursuivre, et même pour accroître, les investissements qui commandent notre avenir, soit dans le domaine social : logements, écoles, hôpitaux, soit dans le domaine économique : énergie, équipement, communications.

Comme on peut s'attendre à ce qu'il en résulte, au moins momentanément, quelque hausse du niveau des prix, le gouvernement prend aussi des mesures relatives au pouvoir d'achat, de celui surtout des Français dont le revenu est le plus modeste."

(ça pourrait être bientôt une partie du discours de Hollande)

La tâche nationale qui m'incombe se trouve, de ce fait, confirmée. Guide de la France et Chef de l'État républicain, j'exercerai le pouvoir suprême dans toute l'étendue qu'il comporte et suivant l'esprit nouveau qui me l'a fait attribuer.

L'appel qui m'est adressé par le pays exprime son instinct du salut. S'il me charge de le conduire, c'est parce qu'il veut aller, non certes à la facilité, mais à l'effort et au renouveau.

En vérité, il était temps. Car l'unité française se trouvait sur le point de se briser, entraînant tout à l'effondrement.

Bien entendu, le danger s'étendait aux finances et à l'économie.

La confiance du pays va me permettre, dans ce domaine comme dans les autres, de renverser la tendance et de parer au plus pressé. Cependant, la situation demeure précaire, c'est-à-dire dangereuse.

(ce sera partie du discours de Sarko 2)

Combler, dans le fonctionnement des assurances sociales, le déficit dont les fonds publics ont à supporter la charge. Inviter les anciens combattants qui sont pourvus du nécessaire et qui ne sont pas invalides à renoncer à leur retraite.

(ça, ça restera De Gaulle)

Discours sur la politique de rigueur, 28 décembre 1958

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