Nous l'attendons, le rêvons, et le voilà peut-être le traitement pour la Covid 19 qui semble émerger. L'avancée du traitement XAV19 évoqué par Xénothera, la bioTech nantaise, permettant un "cocktail de défense naturelle" pour protéger de l'aggravation du virus avait créé une lueur d'un véritable candidat médicament. Une nouvelle approche scientifique semble confirmer que certaines pistes n'ont pas encore étaient explorées.
De l'approche sur l'immunité adaptative vers une nouvelle approche sur une immunité acquise
On peut tenter de combattre le virus du COVID-19 en attaquant le génome du virus, seulement d'après le Dr Henri Joseph, il est difficile de prévoir si des mutations nouvelles n'apparaîtront pas à la suite des injections. Dans une interview donnée à France Télévision La Première le docteur Henri Joseph indique "ce sont des pistes qui sont vérifiées. Cela fait 32 ans que j'y travaille, sur l’efficacité de cette plante. » Le docteur Henri Joseph précise que "ses motivations de recherche pour la lutte des virus tels que la dingue ou le chikungunya" lui ont fait acquérir des connaissances sur le fonctionnement de cette plante. Dans cette interview le Dr Henri joseph affirme « je savais que cette plante était capable d'agir sur les virus ARN » « J'ai observé que les molécules que je pressentais étaient présentes, ce qui nous a permis de déposer un premier brevet en 2006 ».
Pour le docteur Henri Jospeh, les chercheurs n’ont pas explorés l’ensemble des pistes. Les plantes médicinales ou anciennes comme l’herbe à pic ont éprouvé un désintérêt général sûrement lié à l'histoire coloniale, que nous étudierons dans un second temps. Les recherches réalisées pendant 32 ans du docteur Henri Joseph lui ont donné un important socle de connaissances sur l'herbe à pic. D’ailleurs il indique que lorsque "est arrivait le covid 19 tous les chercheurs sont orientés vers ce qu'on appelle l'immunité adaptative, c’est-à-dire qu'on va inoculer une partie du virus avec des bases nucléiques", ---ces bases-- "vont coder pour des protéines, la protéine spike du virus et notre système immunitaire vont produire des anticorps neutralisant" ---sur ces fragments de virus. Ceci représente l'approche de l'immunité adaptive des nouveaux types de vaccins de thérapie génie. Ces thérapie génie permettent d'agir sur l'épigénétique.
Le docteur Henri Joseph et son équipe ont décidés de s'orienter sur l'immunité acquise. Le docteur précise en ce sens "nous on va bloquer, pour faire « simple, la réplication du virus » on va l'empêcher de fabriquer son disque dur, son génome" ; d'expliquer ensuite plus simplement que "s'il n'y a pas génome, il n'y a pas de petit virus, s'il n’y a pas de petit virus, il n’y a pas de contamination". Cette herbe à pic semble donc agir tel un bouclier rendant l'environnement inhospitalier pour le virus.
L'Herbe à pic ou Zèb à pic, un bouclier face au coronavirus ?
Pour le docteur Henri Jospeh "Il faut bien comprendre que le virus est le plus petit organisme vivant qui existe sur la terre. Il a besoin d'une cellule pour se répliquer. Il est incapable de faire ses petits tous seuls, et pour faire ses petits, le virus est obligé de se fixer sur une cellule et entrer à l'intérieur. Il prend ensuite « le contrôle de machinerie cellulaire ». Cette machinerie lui permet ainsi de se répliquer. Pour le docteur Henri Joseph " bloquer la machine nucléiques empêche la création du disque dur du virus » plus précisément le génome de ce dernier. La difficulté que rencontre les laboratoires, c'est que cette plante est difficilement synthétisable, il affirme même que l' « on est obligé de passer par la plante ». Le docteur en ce sens acquis des connaissances concernant la cultivation de cette plante.
Parlons histoire colonial et frein dans la recherche
Historiquement, les plantes et pratiques médicinales anciennes étaient interdites dans les outremers. Un arrêté du conseil souverain daté du 8 mars 1799 indique qu' « il est interdit aux gens de couleur, noirs ou esclaves, d'exercer la médecine, la chirurgie, d'utiliser aucun remède sous quelque forme que ce soit, sous peine de 500 francs d'amende pour les gens libres, punition corporelle pour les esclaves, et les colons qui tolèrent ce genre de pratiques seront déchus de leurs dits esclaves. ». Ce peut être l'origine d'un frein sur l'assimilation de connaissances anciennes efficaces.

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Les plantes endémiques de ces régions pouvant être source d’avancée scientifique majeure étaient ainsi interdites dans l’usage pour la médecine. Enfin, le 23 février 2011 la modification de l'article L5112-1 du Code de la santé publique entre en vigueur. Cet article précise que la pharmacopée des outremers complétera la pharmacopée française. Preuve encore, que notre histoire coloniale non étudiée et non déconstruite, peut nous amener à des comportements dommageables liés à des présupposés scientifiquement infondés et excluants. L'histoire coloniale semble pas affecter uniquement la sphère sociale, mais aussi scientifique.
Une recherche impulsée par le CNRS de Montpellier
Un brevet a été déposé le 10 février dernier, les détracteurs des théories du docteur Henri Joseph indiquent un « coup marketing » pour son laboratoire. Le professeur avec rationalité et apaisement indique en fin d'interview que « Les labos Sanofi et Pasteur ont abandonné le vaccin. Nos recherches ont été faite au CNRS de Montpellier. Si Pasteur, Sanofi, le CNRS n'est pas valable je me demande ce qui reste à la France comme possibilité de recherche ». Pour le docteur les avancées scientifiques semblent donc indéniablement vérifiées.
À l'heure actuelle les médias n'ont pas relayés cette information positive du mois, même avec réticence. Nous avons seulement France Télévision et quelques journaux locaux qui ont interrogé cette nouvelle approche. Les faits scientifiques semblent pourtant être probants dans l’avancée des recherches de l’immunité acquise évoqué par le Dr Henri Joseph. Espérons que ces recherches permettront de reconnaitre l’approche semblant novatrice du docteur Henri-Joseph. Les variables inconnues des nouveaux vaccins dit à " ARN messager" et les symptômes répertoriés par certains soignants le 10 février dernier, peuvent-être à l'origine de plus reconnaissance et d'intérêt sur ces approches nouvelles et naturelles.