Monsieur Smet, a déshérité ses enfants.
Les Françaises-çais sont scandalisées-és ,elles-ils ont raison, ça n'est pas à monsieur Smet de le faire mais à l'ETAT, non pas seulement pour récupérer en bon comptable, les impôts impayés par ce bonhomme mais tout simplement pour enfin appliquer les principes d'égalité et de fraternité qui figurent, avec la liberté en première ligne de je ne sais plus quelle déclaration solennelle.
L'état en déshéritant tous les enfants Françaises-S (100% de droits de succession) impose enfin le partage des richesses, j'entends par là, des richesses de toutes-S pour toutes-S sans hiérarchie, passe droit et dérogation.
Pas de révolution, une simple petite loi fiscale.
Pas de spoliation, la propriété individuelle du citoyen est préservée et demeure sauf après la mort du dit citoyen.
Être solidaire après la mort, c'est facile et indolore, de plus, la mort devient humainement productive, elle sert enfin à quelque chose d’utile au plus grand nombre,à la société.
A part l'imposteur Jésus (Christ) et quelques-uns de ses collègues, il n'y a pas d'exemple de revenant revendiquant son héritage, le législateur peut donc légiférer sans crainte, tranquillement, car il faut le dire et le répéter: les fantômes de tous bords et autres niaiseries de l'au delà n’existent pas.
Voilà, c'est réglé, et merci à monsieur Smet d'avoir montré à l'état qu'il était possible de déshériter.
Problème: personne n'en veut, même le parti communiste français (le PQ de LFI) en principe adepte du collectivisme bien compris, ne propose pas cela.
Pas de trace de cela non plus à la gauche de la gauche chimiquement pure, plus communiste que messieurs Marx, Engels, Trotski Léon et consorts réunis
Ceux qui ont du bien (petit bien ou grand bien) vont donc pouvoir continuer à l'accumuler au fil des générations, c'est sentimental, c'est patrimonial, c'est la famille comme disait papi Pétain !
Consolation: la rente, c'est la mort du capitalisme