DESPRES Henri Alain
Sentier de Châteaufort , 91400 ORSAY
LRAR à l’attention de
Monsieur Serge DAEL , Président
de la Commission d’Accès aux Documents Administratifs
35, rue Saint-Dominique 75700 PARIS 07 SP
Orsay, le 24 juillet 2013
P.J. Documents [1], [2] et [3].
Monsieur le Président,
J'ai l'honneur de vous saisir personnellement d'une demande d'avis sur le refus, constamment opposé aux internautes, à partir de 2007, par le lien
http://www.cada.fr/spip.php?page=recherche&recherche=20034529
dans l’affichage d’une trace numérisée de l’Avis-Conseil 2003 4529, émis le 20 novembre 2003 par votre Commission. Toutefois le texte de cet avis de 2003 a pu être confronté, dans le document [1] Dérive CADA 2003-2006 ci-joint, avec un autre Avis, émis en séance le 26-10-2006, accessible lui par
http://www.cada.fr/spip.php?page=recherche&recherche=20064554 .
Il me semble trop tard pour tenter de limiter la diffusion du texte relatif à l'Hôpital Max-Fourestier.. Le nom de l’établissement mis en cause ne peut plus être affecté d’une anonymisation, ni d’un droit à l’Oubli. Le nom du patient anonymisé (décédé à Nanterre sous l’initiale R…) va désormais relever du secret de l’instruction relancée, et non plus de l’arbitraire du Conseil d’Etat.
Je suis clairement nommé dans les documents [2] et [3]. Ces deux documents, avec d‘autres, me qualifient pour faire connaître le résultat de votre intervention, ou faire connaître votre absence de pouvoir en matière informatique. Mes documents datés pourront ensuite soulever le cas de deux autres avis CADA numérotés, rendus inaccessibles aux patients par injonction du Conseil de l’Ordre. La Haute Autorité de la Santé m’a écrit n’être pas autorisée à m’en communiquer les textes.
Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’assurance de mon attachement aux valeurs républicaines, et à la future transparence de la CNIL et de la CADA.
Rectification apportée dès 2003 par Y.BOUYSSET, pour sa pièce jointe [3]. Au lieu de 2002-63, il fallait lire Décret 2002-637 du 29 avril 2002, relatif à l'accès aux informations personnelles détenues par les professionnels et les établissements de santé. Dans la quinzaine qui a suivi la mise en vigueur de ce décret, d'importants mouvements de personnel dirigeant ont eu lieu, à la Santé et à l'Intérieur, sans effets dans la Présidence de la République, ni dans la Direction du Centre Psychothérapique de Nancy.