Un nouveau numéro de Lacan Quotidienavec son lien : https://www.lacanquotidien.fr/blog/wp-content/uploads/2020/04/LQ-885.pdf
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LBSKC-CRIAEAU R3 : Enfin la VALIDATION de " Groupe Esther 21 : Les Lumières du Rwanda - Criaeau.org " : j'attendais depuis longtemps un mouvement normatif des Psys sur , à tout le moins la compulsion de répétition quand au déni au regard des Droits Humains et contre la criminogénie déshumaine : c'est fait avec ce rappel :
" Le déni comme facteur politique "
par Osvaldo L. Delgado
" L’originalité, la puissance créatrice de Freud l’ont mené à produire les textes les plus
précieux concernant l’être humain et les collectifs sociaux.
Notons, dans le même temps, une différence frappante entre son optimisme à l’égard
de la science et de la chute de la religion, quant à l’avenir du genre humain aussi, et son
malaise profond face à la montée du nazisme. Il produit le concept de pulsion de mort. Nous
trouvons un Freud optimiste quant à la puissance du désir et pessimiste quant aux névroses
de destinée. En 1920, la clinique change et perce l’idéal de la morale moderne.
Sur ce point, nous devons, dans ce moment sombre du monde, marquer la différence
entre deux questions. D’une part, comme le fait Miquel Bassols, le réel sans loi de la
pandémie et le réel avec loi du virus (1). J’ajoute, d’autre part, la compulsion de répétition
ordonnée par le fantasme. Là, s’ouvre le champ de l’idéologie. Rappelons-nous que la
compulsion de répétition conduit au pire et peut s’articuler comme idéologie. Elle peut ainsi
faire un traitement du réel sans loi absolument génocidaire. Cette compulsion peut
s’exprimer comme haine au sens aristotélicien, c’est-à-dire que l’autre n’existe pas.
Nous, psychanalystes, sommes respectueux du symptôme, puisqu’il abrite la diversité
des jouissances à respecter. Ce que nous ne pouvons pas respecter est une jouissance qui
viole les Droits Humains. En plus du réel sans loi de l’épidémie, il y a l’impératif de
jouissance de certains gouvernements qui exigent des travailleurs de continuer à produire
une plus-value pour les milliardaires, même au risque de leur vie . "
ça va vous plaire au réveil pour la matinale très tôt du Come Back to School retour aux Savoirs et Connaisances ! ! ! !
LBSKC-CRIAEAU R3 : Mise au point : Sans citer Hans Jonas ni Emmanuyel Faye, pour étaler la confiture nuancée et fragile, fébrile, du style...et euphémiser la criminalité, le monsieur semble revendiquer autant Hannah Arendt que Lordon, sans se soucier d'études sur la Littérature, la Philosophie et l'Art, qui interrogent autant heidegger que péan, c'est à dire autant l'Histoire du nazisme, de la Philosophie, au Droit et Littérature, que l'histoire du génocide perpétré contre les Tutsi , de la Philosophie, au Droit et Littérature, jusqu'encore l'histoire du négationnisme et des styles de négations et euphémisations chez les soumis au discours Tv et pseudo-culturel des révisionnistes.
Certes on respectera la fragilité de l'homme, pour qui l'Epsitémologie des Sciences doit semble cruelle, clivante même, quand pourtant de nombreuses auteurs femmes ont écrit, elles aussi fragiles, depuis les Témoignages de survivant(e)s et en leurs Philosophies et Littératures.
Si Julie Colaiacovo n'est pas encore reconnue, c'est uniquement à cause du négationnisme d'état en France sur la participation de la France au génocide perpétré contre les Tutsi au Rwanda, tandis que Charlotte Lacoste en sa thèse de doctorat, a dégordianisé les rapports en Témoignages, séductions des bourreaux, négationnismes, styles de négation des victimes et préciosités romanesques contre le FAIT.
Désirer s'interroger sur la Littérature et les Arts au 21ème siècle passe par l'introduction du Témoignage dans la Littérature, tel qu'en " Esther 21 : une Histoire d'Amour " et contre les Bienveillantes.
Reste donc un savoir de surface en cet interview, complice inconscient des primés par les pouvoirs négationnistes, d'état et ou de presse.
Cette crise d'Ethique chez les écrivains et romanciers, ne regarde plus leur style ou nuanciers dans le faux et négation des témoignages : c'est leur Praxis en cette Ethique même qui se doit de déconstruire tout un rapport d'érotisation au déni, d'érotisation au déni du Témoignage.
On fait parler Deleuze sans savoir, comme Lacan, Koltès, Lévinas ce qu'ils nous auraient dit, penser, écrit, réfléchit et approfondit après la participation de la France dans le génocide perpétré contre les Tutsi au Rwanda.
26 ans de négationnisme d'état plus tard, jusque France culture, jusque France inter, jusque le Monde diplomatique, jusque France musique, semblent en laisser orphelins des savoirs et des faits, des Témoignages et des Oeuvres en Littérature et Arts qui elles ont accompagné les survivant(e)s, le Droit et la Philosophie, l'Education et la Culture anti-négationniste.
Un ou une écrivain qui s'interroge sur une société de fake news, ne peut que tendre à approfondir sa réflexion sur ce qui a cristallisé ces sociétés négationnistes, ces pathologies négationnistes jusque des cultures de négation des faits et témoignages, droits et devoirs donc ...
En cette topique apparemment pathologique, citons l'actuel de la Psychanalyse Lacanienne, fine et mémorielle , qui de Joyce à l'Histoire de la Littérature, semble aussi niée qu'oubliée :
"
" Le déni comme facteur politique "
par Osvaldo L. Delgado
" L’originalité, la puissance créatrice de Freud l’ont mené à produire les textes les plus précieux concernant l’être humain et les collectifs sociaux.
Notons, dans le même temps, une différence frappante entre son optimisme à l’égard de la science et de la chute de la religion, quant à l’avenir du genre humain aussi, et son malaise profond face à la montée du nazisme. Il produit le concept de pulsion de mort. Nous trouvons un Freud optimiste quant à la puissance du désir et pessimiste quant aux névroses de destinée. En 1920, la clinique change et perce l’idéal de la morale moderne.
Sur ce point, nous devons, dans ce moment sombre du monde, marquer la différence entre deux questions. D’une part, comme le fait Miquel Bassols, le réel sans loi de la pandémie et le réel avec loi du virus (1). J’ajoute, d’autre part, la compulsion de répétition ordonnée par le fantasme. Là, s’ouvre le champ de l’idéologie. Rappelons-nous que la
compulsion de répétition conduit au pire et peut s’articuler comme idéologie. Elle peut ainsi faire un traitement du réel sans loi absolument génocidaire. Cette compulsion peut s’exprimer comme haine au sens aristotélicien, c’est-à-dire que l’autre n’existe pas.
Nous, psychanalystes, sommes respectueux du symptôme, puisqu’il abrite la diversité des jouissances à respecter. Ce que nous ne pouvons pas respecter est une jouissance qui viole les Droits Humains. En plus du réel sans loi de l’épidémie, il y a l’impératif de jouissance de certains gouvernements qui exigent des travailleurs de continuer à produire une plus-value pour les milliardaires, même au risque de leur vie . "
Là, une Autre Langue, celle d'un Autre, infirme le style rompu d'un narcissique miroir où s'éteigne conscience et devoirs. Tel qu'au Théâtre et en Histoire des Littératures dramatiques, le Verbe prend Corps : il cogne si nécessaire : avec le Droit, Glaive accusateur sur la base de FAITS et Témoignages.
Or, rassurez-vous : il existe une Littérature que vous ne connaissez pas encore, et qui , dans des Langues différentes, sans une langue de solution finale, sans une langue LTI, sans une Langue qui viendrait elle seule plaquer du savoir de surface pour se nier quant à son Ethique, des Langues différentes qui incorporent Faits et Témoignages, en l'Histoire de la Littérature du 21ème siècle.
Laurent Beaufils.
Jérôme Ferrari: "Le pire n'est peut-être pas toujours certain, mais il est toujours possible"
Alors que le pouvoir politique vide les mots de leurs sens, comment réconcilier l'expression et les faits ? La littérature peut-elle jouer un rôle dans le " monde d'après " ? Le changement esp...
Donc c'est bien cette jouissance dans le déni, en France, que nous refusons : celle de l'euphémisation et du déni, celle qui de france culture à médiapart, de libération au monde, du sénat à LCI, des TV aux journaux radios et presse écrite , qui ne dit rien du RWANDA : tout en sachant et en étant payé par un état négationniste : tout en étant payé et en refoulant donc, tels des sadiques, tous les ans au 7 avril, la fausse nomination du génocide en thèse ethniciste, en double génocide, en tribalisme, telle une jouissance de dominés, reclus et pervers, qui savent qu'ils disent faux, et qui attaquent pour les sadiser, les Survivant(e)s.
Soumis à l'ordre négationniste : ces soumis, dans toute la presse française, écrite, TV, radio, internet, qui se taisent et n'apprennent pas et qui, comme des mauvais élèves endoctrinés, comme les boches, lancent la pique aux Juifs, aux Tutsi : pervers et salauds, fumiers et faisant semblant de ne pas savoir, alors qu'ils savent mais ont peur, se terrent, se soumettent comme exactement des faibles.
Certes, humainement, nous respectons leurs traumatismes : la blessure narcissique française... 75 ans après la Résistance et notre victoire contre les nazis : mais leur peur et traumas les laissent donc soumis, et enclins à ne jamais prendre leurs responsabilités : prisonniers des langues négationnistes, soumis et corrompus à l'ordre, ils euphémisent et tombent dans le piège grossier de la compulsion de répétitions.
Sanctionnés, ils pourraient corriger : mais apparemment, c'est alors le sans Loi, le facisant, le pervers qui les séduit : la vengeance et la haine leur tient lieu de ressassement permanent, obligés de s'enfoncer maladivement avec les révisionnistes, ouvertement cette fois : là, le piège se referme. Prisonniers alors des Langues LTI, ils favorisent le facisme, quand ce facisme les meurtrit aussi : non conscients, ou complice dans la pulsion de meurtre, du REEL degré de criminogénie exterminatrices des complices français du génocide, leur tort aura été de REFUSER d'apprendre et ou de préférer se soumettre : malades, compulsifs, ils sombrent alors dans le déni.
Ce déni, comme facteur politique, les renvoient au même niveau que les gouvernants et le f haine, qu'ils croient critiquer : la stratification négationniste est alors devenue sociétale : mais pire , elle est devenue PATHOLOGIQUE : enfermés dans la peur, la culpabilité d'avoir nié et où euphémisé, ils ont encore plus peur de revenir aux Faits et Témoignages de ceux-là même qui avec Raison, les ont critiqué....
Plus les chantages de groupe, effets de groupe, chantages religieux, chantages familialistes, chantage nationalistes.....Là, l'Histoire de leur vie, souvent sans Psychanalyse, souvent abreuvée de TV, dans leurs aveux terribles " de n'en être pas ..." - SIC ! les laissent battus d'avance : tous les discours alors sont mensonges...
Les faibles se retrouvent alors muets à nouveau, incapables à sortir par eux-même de ce déni politique.
IL est possible d'espérer que ces sociétés pathologiquement négationniste soient analysables, en Psychanalyse, et rectifiable par l'Education : surtout par l'ordre éducationnel à vrai dire, au regard des culpabilité collective, psychose collective, névrose collective chez des individus trop soumis, trop endoctrinés et apeurés.... : puisque et parce que, les faibles croient faire des listes " d'écrivains dissidents " que les pouvoirs négationnistes payent pour ne pas être diffusés : là est l'ultime point d'achoppement de la presse française, vendue et corrompue, euphémisante et révisionnisme, ayant perdu toute ETHIQUE APPLIQUEE.
Nous préférons pourtant la normativité des publications, des réceptions, des études critiques, des débats, des disputes qui à tout le moins, ne nient rien et mettent sur la table les " sujets qui fâchent " : là, tel qu'au Théâtre, nous sommes à même de les résoudre.
Surtout en ces temps de soit disant remise en cause d'un système, économique et social, où la Philosophie contre l'effondrement, les Sciences Humaines contre le capitalisme, le Théâtre et ses Savoirs scientifiques Doctoraux, ont déjà prouvé dans l'Histoire de la Connaissance Humaine, le REEL des Réparations aussi possibles que réalisables et réalisées aussi.
Or, il n'est pas faute d’œuvrer tous les jours, toutes les nuits, pour tendre à la discussion, à l'échange, à l'analyse : ce blog est en la preuve. D'ailleurs il dérange au plus haut point.
Mais comment des journalistes et des écrivains peuvent-ils refuser d'apprendre et nier quand par ailleurs ils osent traiter " des faits", des " fakes news" et de la " vérité " ?
Et si jamais encore une fois, leur rictus maladif, leur fuite et leur mépris les laissaient croire à pouvoir nourrir la HAINE, comme ceux qui bannissent et fabriquent des dissidents,....nous leur rappellerons tous les jours combien cette HAINE qui les nourrit leur sera violence retournée contre eux-même, de la violence réciproque chez Girard, quand les nazis se purgent entre eux, à la Violence qu'ils se font à eux-même en ayant cru choisir le mépris, la négation, le négationnisme et la NEGATION de l'AUTRE.
Laurent Beaufils-Seyam écrit à Boussac, le 4 mai 2020 à 2 heures 50 minutes.
LBSKC-CRIAEAU R3 : " Vers une Éthique Appliquée ". Tome 4. page 128. Auteur: Laurent Beaufils Seyam. / Criaeau.org
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" Les Lumières du Théâtre " , le prochain livre et publication de Laurent Beaufils : Ici, en " avant-première " , un texte introductif ( veuillez prendre en compte l'actualisation du titre: ...
https://criaeau.org/les-lumieres-du-rwanda/
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CRIAEAU INTERNATIONAL: ANTI-GENOCIDE ARTS CENTER - Simulatoire Activée
L'Association CRIAEAU, Loi 1901, vient d'être créé aujourd'hui, mercredi 24 avril 2019, à Boussac : Elle a pour objet tant la création de spectacles-performances ( en toutes formes ARTS ) que ...