LBSKC-CRIAEAU R3 : de Total génocidaire aux mises en Récits de l'Histoire depuis l'usage éthique des Témoignages18 Avril 2020
LBSKC-CRIAEAU R3 : Message de la diaspora internationale pour Kwibuka 26: très belle interrogation réflexion sur les mises en récits historiques par les survivants et enfants de survivants contre les mauvais influenceurs, les révisionnistes inconscients sans usage éthique des témoignages dans les questions de représentation de l'Histoire. / Criaeau.org
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Dans les billets précédents, on trouve dans le Témoignage film d'Aimable Karirima, le réel d'une éthique appliquée concernant la mise en récit du Témoignage, et son inscription dans l'Histoire, dans l'Histoire du génocide perpétré contre les Tutsi au Rwanda.
Si le survivant qualifie lui-même de " petite histoire " son Témoignage dans " la grande histoire du génocide perpétré contre les Tutsi", il décrit aussi très bien que sa propre histoire de survivant est grande, composée de nombreuses " petites histoires " qui, en soi, forme un livre en chacun d'elle.
Nous avons ainsi proposé la notion de consubstancialité en ce qui concerne l'histoire de l'implication française complice du génocide perpétré contre les Tutsi, puisque et parce que, dans de très nombreux Témoignages de survivants, ceux-ci témoignent factuellement de l'importance de la présence française complice des génocidaires, dans ce qu'a été leur processus de survie.
De Vénuste Kahimayé, à Aimable Karirima, nombreux sont les survivants qui, depuis les sodlats français aux barrages avant le génocide, aux listes de Tutsi informatisées par les gendarmes français au Rwanda, témoignent de cette consubstancialité structurelle encore : c'est à dire complice et au coeur de la machine d'état génocidaire, jusque en être même à la tête, dans le cas de soldats français qui furent les formateurs en chef de l'armée rwandaise génocidaire. Et jusque le concret de la formation des soldats génocidaires rwandais dès 1991-1992 dans la complicté au massacre des Bagogwe.
Des enfants survivants ont témoigné avoir vu des soldats français le 12 mai à Bisesero, dans ce qui fut un des plus grands massacres de près de 50 000 êtres humains.
Des ventes d'armes et livraisons d'armes incessantes, dès 1990, jusque le 7 avril, jusque pendant le génocide et encore par après aux génocidaires réfugiés au Zaïre, la consubstancialité de la complicité française relève d'une empreinte majeure, première, sans laquelle en soi, le génocide n'aurait pas pu être perpétré.
Or quand les " révisionnistes inconscients " tel audouin-rouzeau, font semblant de reconnaitre " la part prépondérante de l'implication française" pour aussitôt la nier en arguant " qu'elle n'est pas l'histoire du génocide ", ils commettent une erreur grave, d'apréciation et d'analyse : on sait bien que leur culpabilité en soi, ou leur compromossion avec les révsionnistes, les empêche de recouvrir à une lucidité et une déontologie professionnelle.
Or les survivants eux, s'inscrivent bien autrement dans la mise en Histoire du génocide : si African Rights fut la première à publier un receuil de Témoignages, sur Bisesero, c'est depuis 2000 avec le Groupov , qu'encore survivants et artistes, produirent une Oeuvre Magistrale quand à la mise en récit du génocide.
Donnant d'abord et avant tout, avant le Théâtre même, la place première à la Survivante, à son Témoignage.
Déroulant en suite dans l'apparence d'une mise en récit fictionelle, une critique en règle de l'Ethique des journaliste s'interrogeant donc sur la mise en récit : toujours pionnière, cette oeuvre devrait être obligatoire dans les écoles de journalisme.
Mais c'est encore par le Chant, et la Dramaturgie, très inspirée de Bertold Brecht entre autres, que les modalités de récits très différentes que l'image tv-cinéma, sont venues donner à entendre et comprendre , bien des pages entières de l'Histoire du génocide perpétré contre les Tutsi : pages ponctuées de questions, de réflexions philosophiques, pages critiques et dénonciatrices des coupables et complices contre l'impunité d'alors.
Dans la difficulté à Témoigner et contre encore la propagande outrancière révisionniste française encore démontrée comme fausse dès 2012, nombre de survivant(e)s ont livré leurs témoignages, dans des formes que des chercheuses comme Charlotte Lacoste étudient dans ce qu'elle démontre du Corpus de Témoignage tel un nouveau genre littéraire.
Encore, des archivistes tel Kathy Michèle Carbone, ayant ouvert des librairies et sites pour les Témoignages, et Recherches internationales au niveau interdisciplinaire, s'interroge , comme pour les migrants en programme R3 ONU UNHCR, sur la " biographie de l'archive " : c'est à dire dans le cas du Témoignage, comme de sa réception et ou censure, de sa diffusion à son interprétation, contre les révisionnistes et pour les mises en éducation, cette Biographie du Témoignage raconte de l'Histoire de sa Réception comme de l'intrinsèque du Témoignage , et à travers lui, de FAITS qui sont en soi référants à la Justice et aux mises en instructions contre les génocidaires et leurs complices, jusque aux soldats et politiques français donc.
Ainsi des Témoignages d'Enfants à Bisesero comme des Enfants devenus aujourd'hui adultes de la troupe de Théâtre et Danse ABUSAKIVI qui savent et témoignent de soldats français le 12 mai 1994 à Bisesero, quand leurs témoignages n'ont pas encore été reçus correctement, et qu'aucune réelle enquête officielle, de l'ONU, n'a été faite depuis 26 ans....
La mise en récits des Témoignages et de l'Histoire du génocide s'inscrit encore en différentes échelles temporelles : il est difficile de bien aprécier faits et témoignages, si on ne connait pas à tous le moins, ces différents degrés temporels :
- Depuis l'Antiquité : l'Histoire très longue , sociale et culturelle du Rwanda ancien ( " Les enfants d'Imana " de Jean-Luc Galabert, 2013)
- Depuis le 20ème siècle : l'Histoire de la colonisation allemande, puis belge, maintenant bien étudiée à travers par exemple la Commission Nationale de Lutte contre le génocide. ( CNLG)
- Depuis l'Histoire de la Shoah ": l'Histoire de l'armée française depuis 1947 et son implication dès 1990 au Rwanda " Une guerre noire " de Gabrièl Périès ET ENCORE l'Histoire de " l'indépendance rwandaise depuis 1959 " ( livres Izuba, voire Antoine Mugesera " La Révolution manquée Rwanda 1959-1962 : https://www.izuba.info/edition.html?lang=fr )
- Depuis 1990-1994 : l'Oeuvre première et refondatrice de Jacques Morel intitulée " la France au coeur du génocide perpétré contre les Tutsi "
- le 12, 13 et 14 mai 1994 : prenant pour illustrer ces différentes échelles temporelles, l'exemple de ces trois journées, tant pour ne pas minimiser les faits et témoignages, qu'encore pour comprendre ce qu'à l'échelle d'une journée, le Témoignage raconte de 4 ans d'implication française, entièrement complice et participatrice au génocide perpétré contre les Tutsi.
Dans l'importance première de la mise en récit par les Survivants eux-mêmes, ce sont bien sûr l'ensemble des Témoignages, nombreux et encore en écriture, qui forment les archives, rappellent les FAITS, et permettent de reconstruire, recomposer, l'Histoire entière du génocide, autant que faire se peut. Car nombre de corps n'ont pas été retrouvés et certains survivants ne savent pas encore comment leurs familles, pères, mères, enfants, cousins, frères et soeurs, grand-pères et ou grand-mères ont quelquefois été assassinés.
Comme le donne à comprendre très intelligemment Aimable Karirima, toutes ces Histoires forment l'Histoire du génocide et il est difficile encore, d'avoir une vision complète, avec des mises en récits éducationelles abordables par toutes et tous, tant le réel de la complexité et la précaution à ne pas minimiser une partie pour le tout, sont des difficultés premières.
En juillet 2008, à Yad Vashem, dans la conférence internationale " Teach Shoah : figth racism and genocide ", près de 800 formateurs, enseignants, ont réfléchi et échangé sur justement leurs modalités d'entrées de cours, pusique à l'évidence, chaque professeur en sa classe, n'enseigne pas exactement comme un ou une autre : c'est ainsi que certains ont introduit leurs cours par l'Histoire des Arts , la Peinture et les dits Artistes dégénérés. D'autres entrent en l'Histoire de la Shoah par l'histoire des ghettos. D'autres encore s'attachent au parcours d'une personne, assassinée ou survivante. Quand il existe donc presque autant d'entrée de cours que de professeurs. Et pourtant, toutes et tous repassent par les passages obligés de l'Histoire en sa mise en récit : l'Allemagne de 1918 à 1939 dans la montée du nazisme en 1933 - La guerre et la mise en ghettos- la Shoah par balles et le procesus d'extermination du programme T4 au plan Reinhardt. L'Histoire de la Résistance, militaire, spirituelle et artistique, jusque la Libération des camps d'exterminations, camps de concentration et victoire contre les nazis par les alliées. Historie encore des Comémorations de 1945 à nos jours....
Aussi, contre les mauvais influenceurs, très souvent des complices des révisionnistes, religieux et ou français, les Survivants rwandais s'exhortent à écrire par eux-mêmes l'Histoire du génocide, jusque avec chaque année, de nouveaux Témoignages encore.
Adélaïde Mukantabana s'est littéralement tue pendant 10 années entières après le génocide : elle en témoignage et explique en son Témoignage intitulé " L'Innommable" : puis elle a mis 10 ans pour écrire son livre Témoignage qui n'a donc été publié qu'en 2016 aux Editions l'Harmmattan.
La force exemplaire de son témoignage, en sa formation d'Enseignante devenue survivante, relève factuellement du Corpus de Témoignage, mais également d'un authentique Cours : puisque à travers son récit de survivance, elle a réussi à mettre en récit les différentes échelles temporelles, s'interroge sur les langues encore, de la transcription à la traduction, quand les étapes de sa survivance et reconstruction donnent à voir et comprendre les " passages obligés de l'Histoire du génocide " : la soi disant " petite Historie du survivant, ne fait AUSSI que raconter la " Grande Histoire du génocide, " du Rwanda et des pays membres de l'ONU.
Aussi , contre les mauvais influenceurs proches des révisionnistes, et en l'usage éthique des Témoignages de survivants rwandais, nous recomposons les Questions de Représentations de l'Histoire qui, éducationellement, sont encore une nouvelle étape de mises en récits : une Association comme Survie a produit nombre de " petits livres " telle d'authentiques entrées de cours et initiations progressives à l'Histoire du génocide perpétré contre les Tutsi, ou consubstanciellement l'on apprend de l'Histoire de l'implication française complice de génocide.
Ces mises en Educations , si elles peuvent ête différentes, complexes ou initiatrices, relèvent aussi de la formation des Artistes qui, d'une Sculpture à une pièce de Théâtre, sont à même en tant que " professionnels de la narration d'histoires " , d'initier des mises en récits qu'un historien et même un survivant, n'aurait peut-être pas osé. De nombreux survivants , artistes aussi, ont témoigné, participé, crée des oeuvres d'Arts et de Théâtre , tel Valens Sy Kabary et " Rwanda 94 ", mise en scène de son Témoignage d'enfant alors âgé de 7 ans, et de la soirée du 6 avril 1994 à Kigali entre jeunes rwandais, belges et français.
Aussi nous comprenons bien que l'obsession de croire à "la thèse du génocide paysan" et du " génocide des voisins" , tel la seule et unique thèse qui écarterait les autres, n'est pas juste, quand encore, il s'agirait d'une réduction de la mise en récits des Survivants eux-mêmes, et des multiples entrées de cours, mises en récits, toutes corrélatives les unes des autres.
Puisque si Rouzeau et Dumas tentent de nous suggèrer une minimisation de l'implication française ( à des fins de pardon et non mises en Justice des complices français politiques et militaires ? ) , nous comprenons à travers de très nombreux témoignages et mises en récits, combien a contrario et tel que l'a proposé Jacques Morel, la France fut au coeur de la machine exterminatrice du génocide, complice et participative première, sans lequel génocide n'aurait pas pu être perpétré : d'où la Raison de la mise en Justice des français politiques et militaires, complices des génocidaires.
Sinon Murambi serait un détail ?
Nous avons encore en France à progresser énormément contre l'idéologie révisionniste ancrée à tous les niveau sociétaux telle une PATHOLOGIE GRAVE.
Et là aussi, en soi, la mise en Histoire de cette implication française complice de GENOCIDE doit s'inscrire en l'Histoire de France, de sa démocratie à ses corrections, pour comprendre et réévaluer cette Histoire de France depuis 1945, 1994, jusque nos jours encore.
L'on sait bien, surtout notre génération du 21ème siècle, combien la caricature des mises en Histoire ne fut souvent qu'une piètre tentative de nier les crimes d'états, de nier les révoltes populaires, pour se complaire hideusement dans un narcissisme souvent aussi raciste qu'ontologiquement totalement désuet depuis l'Histoire Humaine après l'Histoire de la Shoah.
Au 21ème siècle, avec tout ce qu'il reste à écrire et mettre en éducation de cette implication française complice de génocide contre les Tutsi au Rwanda, c'est toute notre Conscience Historique, Juridique, Ethique, Philosophique qui est mise à l'épreuve, de surcroit contre l'écocide et jusque cette pandémie quand 7 milliards d'Humains sont restés confinés dans les Maisons.
Depuis le traumatisme de l'Espèce Humaine dans l'Histoire de la Shoah d'avoir dû comprendre et apprendre que la criminalité déshumaine de l'Homme pouvait être aussi son extermination industrielle et totalement suicidaire pour l'Humanité, le cas de récidive de GENOCIDE au RWANDA a aggravé le traumatisme de la Communauté internationale, s'étant rendue impuissante d'arrêter un génocide qui aurait pu être arrêté à temps.
Ce double traumatisme a entrainé une régression et négation des Droits Humains et Sociaux à travers les divers mouvements négationnistes qui pour l'impunité des coupables, n'ont cessé d'altérer et entraver la Justice et les mises en Educations.
Dans cette régression encore aggravée par un capitalisme génocidaire et devenu fou d'avarice au détriment des Droits Humains et Sociaux ( ONU 1966) , l'écocide s'est accéléré dans les démissions des COP, la destruction des services de santé et les pollutions des villes et de la planète entière: aussi, le surgissement de la pandémie a bien obligé les capitalistes négationnistes de tout.... à s'arrêter.
Quand au comble du sauvetage et soins, l'on a vu des tentatives de politiques eugénistes et ou encore des financiers patrons impuissants à comprendre que ce coup d'arrêt des activités à quasi sauvé la Planète, et donc des discours de haine, d'eugénisme et d'inconscience à vouloir reprendre le complexe-thermo industriel qui détruit la planète et les espèces, dont l'Espèce Humaine.
Ces pathologies négationnistes apparues après la Shoah, ce sont aggravées grandement après le Rwanda et sont consubstancielles de la négation de l'écocide et des irresponsabilités actuelles.
Ces nouvelles pathologies sont aussi le fait des négationnistes français du Rwanda et de leurs complices des multinationales écocidaires accusées de pratiques génocidaires.
Ici, cette réflexion inachevée, pour, en ses modalités de mises en récits en 2020, rendre compte de ces nouvelles pathologies négationnistes :
LBSKC-CRIAEAU R3 : L'abjection des multinationales écocidaires et génocidaires dans la déshumanisation entière : " De nombreuses personnes affectées parlent de famine : c’est seulement près d’un an et demi après que les familles affectées ont été privées de leurs terres, et à la suite de réclamations de leur part, que Total a commencé à effectuer des distributions de nourriture, jugées insuffisantes par les familles. "/ Criaeau.org
Ouganda : quand Total nous demande un droit de réponse
A la suite de la publication l'article intitulé " Affaire Total Ouganda : nous faisons appel dans un contexte de justice au ralenti ", le directeur juridique de la société TOTAL S.A., Aurélien ...
" Les Lumières du Théâtre " , le prochain livre et publication de Laurent Beaufils : Ici, en " avant-première " , un texte introductif ( veuillez prendre en compte l'actualisation du titre: ...
http://criaeau.org/les-lumieres-du-rwanda/
Nous renvoyons à nombre de billets de ce blog Seyam, comme au site Criaeau.org, quand nous mettrons en ligne pour le 8 mai 2020, date commémorative de notre victoire contre les nazis, une réflexion d'artiste-chercheur en expérience de décroissance par les Arts, en Creuse , intitulée " Groupe Esther 21: Les Lumières du Rwanda-Criaeau.org " .
Laurent Beaufils-Seyam , écrit à Boussac, le 18 avril 2020 à 13 heures.
Le projet Criaeau est l'adaptation du projet d'ANTI-GENOCIDE ARTS CENTER, inclu aux Témoignages d'Enfants rwandais survivants du génocide perpétré contre les Tutsi : en leurs témoignages donc relevant de leurs parcours durant le génocide, avant et après encore, émane une Proposition de Structure Réparatrice et Educative, par les Arts : cette propsoition est consubstancielle de leurs Témoignages d'enfants.
Leurs témoignages n'ont pas été pris en compte en leur Valeur première, factuelle et réparatrice :
- depuis le témoignage d'enfants ayant vu des soldats français les 12, 13 et 14 mai à Bisesero participer au génocide lors du massacre de près de 50 000 êtres humains sur les collines de Muyra.
- jusque leurs désirs de création d'une double structure d'éducation et de recherche, aux niveaux interdisciplinaires et jusque avec les Praxis d'Arts.
Il existe des genocide studies, des masters in arts & genocide, ou encore le Festival Ubumuntu qui, complémentaires, tendent à factualiser ces éducations et recherches interdisciplinaires avec les Savoirs doctoraux artistisques.
Le Criaeau propose de factualiser concrètement en France une telle structure, quand encore, la société française devenue entièrement malade de négationnisme, se doit de réparer pour les survivant(e)s comme pour la population française, les mises en Histoire jusque en Educations et Recherches.
Complémentaire des lieux de ressources tel le projet Cauri par Adélaïde Mukantabana à Bègles-Bordeaux, et invitants chercheurs-chercheuses, doctorantes-doctorants, le projet Criaeau se désire en constructivité permanente, sous l'égide de Comité d'Ethique des survivant(e)s, de formes de simulatoire active à des formes performées, et déjà initiées depuis deux ans à travers l'expérience du Groupe Esther 21 dans le labo-nomade créé avec le Théâtre d'Or à l'ECART ( Espace de Création Arts et Recherches Transdisciplinaires ) aux Martinats, en Creuse, et intitulé " Labo-nomade Esther 21 : une Histoire d'Amour ", ayant donné naissance à al performance collective intitulée " Esther 21 : Rwanda ", crée et présentée publiquement en Creuse, en compagnie d'Adélaïde Mukantabana et Daniel Le Scornet les 27-28 juillet 2019.
Un extrait de la Performance collective, et extrait de la dramaturgie intitulée " Esther 21 : une Histoire d'Amour " a été performée le 14 juillet 2019 au Festival UBUMUNTU, à l'amphithéâtre du Mémorial du génocide perpétré contre les Tutsi, à Kigali, Rwanda.
" Les Lumières du Théâtre " , le prochain livre et publication de Laurent Beaufils : Ici, en " avant-première " , un texte introductif ( veuillez prendre en compte l'actualisation du titre: ...
http://criaeau.org/les-lumieres-du-rwanda/
CRIAEAU INTERNATIONAL: ANTI-GENOCIDE ARTS CENTER - Simulatoire Activée
L'Association CRIAEAU, Loi 1901, vient d'être créé aujourd'hui, mercredi 24 avril 2019, à Boussac : Elle a pour objet tant la création de spectacles-performances ( en toutes formes ARTS ) que ...