L'Histoire du Masque en Histoire du Théâtre, est l'Histoire d'un Art singulier et collectif.
Une réflexion et un Acte profond sur la Révélation à Soi de l'Autre Soi Même, l'Individuatoire passage obligé pour rencontrer les Responsabilités Collectives.
Celles de la Représentation Publique de Soi à l'Autre, aux Autres, quand l'Histoire encore dévoile les tragédies et comédies tragiques des femmes et des hommes.
Le Masque, d'Esther à la Comedia dell'Arte , s'inscrit donc dans l'Histoire du Théâtre telle celle d'un Art propre aux Comediantes d'abord, pionnier et vecteur force contre les oppressions, diffuseurs amplificateur des voix éteintes et ou opprimées, des Savoirs cachés er révélés, des inaudibles et inouis que les spectateurs ne voulaient, pouvaient, et ou ne savaient pas entendre des avancées pythagoriciennes, du monothéisme, des Droits des femmes, des révoltes d'esclaves contre l'eugénisme.
Libérateur des oppresseurs de l'inquisition dans la Maîtrise des Arlequinos à faire croire passer pour des valets, les porteurs des Lumières, le Masque devient encore l'intégration dans l'Art de l'Actant, l'intériorisation acquise d'une introspection dont Freud-Lacan dans la découverte du continent Inconscient révéleront à toutes et tous les Masques de la Langue et de la pulsion de meurtre.
Si, aujourd'hui en Théâtre-Performance, les Masques des dissidents au capitalisme génocidaire et écocidaire sont celles et ceux dans les langues performées en Ecriture Automatique d'Actants, nouvelles dramaturgies et dégordianisations des Corps 21, c'est en ce Saut Qualitatif qui détruit les faux masques des tartuffes, dans les langues bloquées tv, des facismes f haine des cathéchismes pédo-criminels, des sexualités racistes.
L'Histoire du Masque et des Masques n'est pas achevée...