Et son analyse est édifiante.
Il faudrait ainsi qu'il ait une large capacité à rassembler l'Assemblée
Nationale, tout en respectant la feuille de route présidentielle interdisant
tout retour arrière sur les réformes politiques entérinées depuis 2017.
En résumé donc, un Premier Ministre du changement, décision incontournable après sa raclée électorale aux législatives, pour...continuer à réformer comme avant.
Tout en postulant que la coalition parlementaire, introuvable avant la dissolution, pourra cette fois advenir, comme par enchantement.
Avec en prime des oppositions de gauche et d'extrême droite disposant d'une majorité absolue en nombre de voix cumulées.
Si le réalisme politique a un sens, Macron n'en sera jamais le porte-drapeau !