Décidément, après que Poutine se soit joué de lui et continue de le faire, Trump peine maintenant à se faire respecter de Nétanyahu, qui poursuit ses bombardements sur Gaza malgré un cessez-le-feu en perspective
Deux autocrates, deux volontés expansionnistes, deux hommes politiques ayant un intérêt personnel évident à poursuivre leur entreprise belliqueuse.
Face à eux, un homme ivre de reconnaissance internationale, paradoxalement déterminé à passer pour un faiseur de paix quand, dans le même temps, c'est à de véritables épisodes de guerre civile qu'il se livre au sein de son propre pays.
Un homme plus animé par l'avènement de cessez-le-feu, et la promesse des honneurs qui les accompagnent, que par la création de leur pérennisation, par une recherche de compromis équitables.
Dans ce contexte, un cessez-le-feu à Gaza parait bien aléatoire.