A son tour, Dati, malgré ses casseroles judiciaires qui lui valent un premier procès pénal en septembre 2026, reste en poste à la Culture.
Beaucoup d'autres, à l'instar de Borne, Darmanin, ou Valls, sont également recyclés du gouvernement Bayrou.
Ainsi, les censures gouvernementales peuvent bien se multiplier à l'infini, Macron se contente chaque fois de changer de tête de gondole et de nommer à la marge quelques nouveaux ministres, rendant désormais évidente la faible assise de son vivier de prétendants et, par extension, celle de son assise politique, en rétrécissement comme peau de chagrin.