Il se dit prêt à gouverner, et à le faire majoritairement, excluant par principe une participation de LFI.
On se retrouve donc dans la situation ubuesque où le PS ne trouverait d'appuis politiques que chez Les verts, au PC, et au sein de l'extrême centre, ce qui augurerait mal d'ambitionner mener une politique très différente de celle du pouvoir en place.
LR et le RN seraient d'emblée dans l'opposition, sauf à ce que le PS se fourvoie dans des choix sécuritaires et migratoires hautement improbables.
Ainsi, qu'il le veuille ou non, il ne peut objectivement faire l'impasse sur LFI, sauf à subir inéluctablement le même sort gouvernemental que ses trois prédécesseurs.