Cette gauche sur-ouverte au dialogue, qui passe son temps à se faire rouler dans la farine par Macron et ses sbires.
Il ne suffit pas d'avoir un programme politique alternatif, encore faut-il se donner les moyens de le dérouler.
L'une des premières conditions pour y parvenir passe par l'injonction de se faire respecter, quoi qu'il arrive.
Cela fait deux fois consécutives que le PS tombe de sa chaise en découvrant que Macron ne sait faire que du Macron, structurellement incapable de penser un gouvernement de gauche.
Être gentil en politique, pour ne pas dire naïf, ne peut servir que de faire-valoir pour ceux qui ne s'embarassent pas d'états d'âme.
Résolument, il est plus que temps pour la gauche d'imposer son tempo.