Il doit ainsi se rendre prochainement au Caire pour apporter la pierre française à la tentative de désamorçage du risque de généralisation du conflit Israëlien au Moyen-Orient.
On parle là d'actions de terrain à l'international, qu'un ministre démissionnaire n'est plus censées engager.
Ce nouvel exemple confirme que la démission du gouvernement, que Macron a provoquée mi-juillet, n'avait d'autre objet que de permettre à Attal de se faire élire à la tête de son groupe parlementaire, ce qu'il ne pouvait pas faire en temps que membre d'un gouvernement en exercice.
Le résultat des élections législatives, à plus d'un mois des législatives, n'a donc à ce jour strictement rien changé aux fonctions ministérielles de la macronie.
Les forces de gauche font bien de s'inquiéter...