Comme certains lobbyistes pétroliers, venus à Belem en jet privés, les représentants des quatre banques françaises dont il est question ici, à savoir la BNP Paribas, Crédit Agricole, Société Générale et le groupe Banque Populaire Caisse d’Épargne (BPCE), y sont également présentes.
Peut-être convient-il d'être aussi indulgent à leur égard, concernant la déforestation amazonienne, que semble l'être Lula vis à vis des énergies fossiles, au sujet desquelles il a déclaré que le rythme pour en sortir ne peut qu'être variable d'un pays à l'autre.
Finalement, les COP ressemblent maintenant à des salons internationaux où se négocie l'ajustement entre les concessions climatiques à minima et la préservation des intérêts économiques des multinationales, à maxima.