Deux séquences donc, pour une seule et même fête du sport de niveau.
Mais alors, par quelle bizarrerie Macron semble-t-il avoir symboliquement considéré que la deuxième séquence ressemblerait davantage à des faux vrais JO ?
Car, pourquoi a-t-il unilatéralement décrété une trêve politique dont il
a fixé tout aussi unilatéralement le terme à mi-août, soit quelques jours
aprés la première séquence, et bien avant le début de la seconde ?
Bien sûr, ce choix bénéficie à la démocratie, puisqu'il permettra la
clarification politique attendue, issue du résultat des législatives, et la
possibilité pour les forces de gauche de se mettre en mouvement si cette clarification devait pencher du mauvais côté.
Mais bénéficie-t-il à l'image du paralympisme et aux athlètes
paralympiques eux-même ?
Et dire que l'Elysée est truffé de conseillers et de communiquants en tous genres...