Pas une bonne idée du tout, pour quelqu'un de considérablement affaibli par une collection d'affaires judiciaires, directement liées à son mandat présidentiel passé.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que sa crédibilité en est ressortie fortement entâchée.
Elle l'est d'autant plus que, lorsqu'il s'exprime publiquement, c'est à contre-courant de la marche de l'histoire.
Pensez,...conseiller à son camp de faire nommer un Premier ministre issu de ses rangs, au moment où il n'a jamais été aussi peu représenté dans l'hémicycle.
La période politique Sarkozy, éminemment traumatique, est révolue, et il serait mieux avisé de tourner personnellement cette page,
même si les juges, eux, n'en ont pas fini avec lui