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Billet de blog 15 octobre 2025

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La grande Castration : comment l’idéologie détruit l’homme et la société

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Le féminisme, jadis mouvement légitime pour la dignité des femmes, s’est métamorphosé en une idéologie totalitaire, traquant l’homme sous toutes ses formes. Désormais, il ne s’agit plus de chercher l’égalité, mais de détruire systématiquement tout ce qui évoque la virilité et l’autorité masculine. La France, autrefois terre de chevalerie et de figures masculines fortes, est aujourd’hui livrée à une chasse à l’homme généralisée, où chaque acte, chaque mot, chaque regard est passé au crible d’une police morale hystérique.

L’ÉMASCULATION ORGANISÉE DE LA FRANCE

L’homme français, jadis symbole de force et de charisme, est devenu une cible à abattre. À coup de lois, de culpabilisation médiatique et de déconstruction systématique, la société le pousse à renier sa nature. La virilité est désormais un délit, la force un péché, et l’initiative masculine une agression en devenir. Dans ce climat de castration mentale et sociale, la France se vide de ses hommes. Pas physiquement, mais psychologiquement.

Elle ne compte plus que des spectres, pliés sous le joug de l’oppression féministe.

Et comme si cela ne suffisait pas, l’idéologie transgenre s’est imposée comme une arme supplémentaire pour achever le massacre. Ce délire post-moderne, qui prône l’effacement des genres biologiques, cherche à effacer tout ce qui nous ancre dans le réel. La confusion est érigée en modèle, les certitudes en ennemi. Les figures paternelles et maternelles sont dévorées par un discours qui nie jusqu’à l’évidence biologique. Tout le monde peut devenir tout, mais au final, plus personne n’est rien.

Ce mouvement n’est pas un accident : c’est un programme, une stratégie. Faire disparaître le mâle, figure de force, de protection et de décision, c’est priver la société de ses repères. Sans cette figure, il n’y a plus de direction, plus de résistance, plus de structure.

Ce n’est pas un hasard si les élites encouragent ce chaos : un peuple désarmé, divisé, et privé de leaders naturels est bien plus facile à contrôler.

Une société en guerre contre elle-même

L’émasculation de la France n’est pas une simple dérive. C’est une guerre ouverte contre tout ce qui faisait la grandeur de notre nation. L’homme doit redevenir ce qu’il est : un pilier, un bâtisseur, un protecteur.

Refuser cette réalité, c’est condamner notre civilisation à l’effondrement. Les idéologies passent, mais les vérités immuables restent. Il est temps pour les hommes de se relever, de refuser cette castration symbolique et de reprendre leur rôle naturel : celui de leaders, de guides et de protecteurs du futur.

LA JUSTICE SOUS LE JOUG DU FÉMINISME : UNE MACHINE DE GUERRE CONTRE LES HOMMES

La justice française, autrefois fondée sur la recherche d’équité et de vérité, est aujourd’hui gangrenée par une idéologie omniprésente : le féminisme radical. Ce courant, infiltré dans chaque rouage du système judiciaire, a transformé les tribunaux en arènes où l’homme est systématiquement présumé coupable. Sous couvert de protéger les droits des femmes, c’est une véritable chasse aux sorcières qui s’opère, sapant les fondements mêmes de l’impartialité et de la justice.

UNE JUSTICE BIAISÉE ET VICIÉE

Dans les affaires familiales, les séparations et les accusations d’abus, le verdict semble écrit d’avance. L’homme est réduit à un bourreau potentiel, incapable d’inspirer autre chose que la méfiance et le mépris. Les jugements ne sont plus rendus sur la base des faits, mais en fonction d’un narratif imposé : celui d’une oppression masculine systémique à réparer. Dans ce climat de vengeance idéologique, les preuves et la présomption d’innocence sont balayées au profit d’un parti pris en faveur des femmes, peu importe la réalité des faits.

LES ENFANTS, VICTIMES COLLATÉRALES

L’un des aspects les plus révoltants de cette dérive est l’impact sur les enfants.

Sous l’influence d’un féminisme judiciaire exacerbé, les pères se voient trop souvent écartés de leurs rôles parentaux, privés de garde ou de temps de visite. Tout homme devient suspect, et le lien paternel est sacrifié sur l’autel d’une idéologie qui ne tolère aucun contre-pouvoir masculin.

Ces décisions, prétendument prises dans l’intérêt des enfants, ne font que détruire leur équilibre et alimenter un cycle de rancune et d’injustice.

Mais la dérive ne s’arrête pas là. Les associations féministes, subventionnées et omniprésentes, jouent désormais le rôle d’accusateurs publics. Le moindre conflit de couple devient une affaire judiciaire, où les hommes sont systématiquement traînés devant les tribunaux.

Ce féminisme militant ne se contente plus d’influencer la société : il dicte désormais les décisions de justice, transformant les prétoires en tribunaux révolutionnaires où le sexe de l’accusé détermine l’issue du procès.

Ce n’est plus la justice qui guide la société, mais une idéologie qui contrôle la justice. Le féminisme radical a transformé ce pilier de notre démocratie en un outil de domination, où l’objectivité et l’impartialité sont reléguées au second plan. Il ne s’agit plus de rétablir un équilibre, mais de punir l’homme pour des crimes supposés qu’il n’a jamais commis, tout en érigeant la femme en victime sacrée, intouchable et infaillible.

RÉSISTER À L’INJUSTICE INSTITUTIONNALISÉE

Face à cette dérive inquiétante, il est urgent de dénoncer et de combattre cette mainmise idéologique sur notre système judiciaire.

Une société qui sacrifie la justice sur l’autel de l’idéologie est une société qui marche vers son effondrement.

L’équité doit être restaurée, et les tribunaux doivent redevenir ce qu’ils n’auraient jamais dû cesser d’être : des lieux où seule la vérité, et non le genre, détermine le verdict

La justice française n’est plus qu’un simulacre, une mécanique rouillée au service d’une élite déconnectée.

Ses tribunaux engorgés, ses jugements à deux vitesses, et son incapacité chronique à faire respecter la loi sont les symptômes d’un système qui a choisi l’échec. Cet effondrement n’est pas une fatalité : il est voulu, orchestré, et entretenu pour servir des intérêts bien précis.

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