Sans plus attendre, nous divulguerons le pot aux roses : la seule responsable de cet inimaginable bigntz - dont certains nous ont fait grief - est LA STAGIAIRE.

Certes elle est jeune et naïve.
Certes elle n'est pas payée.

Certes, tous ont voulu lui donner sa chance.
Mais parfois, il faut savoir tirer des leçons des durs aléas de la vie : cette stagiaire est notoirement incompétente.
Continuer à l'employer met en danger la France, que dis-je la France, l'Union Européenne, que dis-je l'U.E, le monde occidental, et par là même le monde tout entier.
Rappel des faits :
Une journaliste de renom - dont nous tairons le nom par déontologie, nous ne sommes pas des chiens, nous, relaie une information fournie par LA STAGIAIRE : dans la foule haineuse des gilets jaunes, un homme faisant le salut nazi.
Bon, par RT c'était une fake news. Nous, c'était une erreur regrettable. La stagiaire fut remerciée et envoyée dans un autre service.

Un journal Télévisé de renom plus grand encore couvrit comme il se doit les manifestations atroces de la horde fluotée. On vit cependant, miracle sous nos yeux, une immense pancarte à la gloire de notre jupiter et voilà MACRON illuminé de tous ses feux. Joie dans les chaumières.
Hélas, il s'avera que sous ce digne patronyme se lisait en lettres énormes elles aussi : DEMISSION. Où étaient passés ces quelques lettres ?
Rapidement, l'enquête interne trouva la coupable. Devinez. Encore elle. LA STAGIAIRE !
Une semaine plus tard, le roi la reine et le p'tit prince, sont venus chez moi - ça y est je m'égare
Une semaine plus tard, c'est le ministère de l'Intérieur qui comptait 32 000 manifestants jaunes pour 90 000 forces de l'ordre.
D'accord. On a compris. ELLE était mutée au centre de communication du ministère.
On a trouvé sa trace vers les Alpes. Il paraît qu'elle utilisait son fer à lisser, quand son téléphone sonna. C'était David qui l'appelait enfin. Elle oublia le fer, avec les conséquences que l'on craint.
Affaire à Suivre.