C'est le nom d'un double album de Klute (2003), mais c'est aussi le conseil donné par un chimiste de renom (George Whitesides) à un jeune chercheur frustré par l'absence de financement de la recherche fondamentale.
Peut-être est-ce la solution en effet (Voir l'Editorial de la revue Elements de juin 2010).
Combien de mensonges a-t-il alors fallu pour parvenir à la mise en place des dernières machines du CERN ? Ce devaient être des mensonges colossaux. Voir Le Monde du 28 juillet 2010, page 14 "La République des Chercheurs." "Les équipes n'ont pas de chef, c'est celui qui a raison qui l'emporte. Les arguments d'autorité c'est la fin de la science."
C'est plutôt celui qui ment le mieux qui l'emporte. Cela a toujours été mon impression. les plus beaux marchands de salade sont aux manettes.
Mais bien sûr, ce seraient des mensonges pour la bonne cause. J'ai tout de même comme un doute, et si c'était plus prosaïquement des mensonges pour booster sa propre carrière, et pour être tout de même le chef, quelque part ? Comment avoir raison en mentant ?
