J’ai peur des médecins, de la police, des psys, du procureur...
Mon affaire pour laquelle je suis choqué par la psychiatrie et par la justice bien que je ne sois à mon avis pas délirant et ne pense pas au moins pour le moment que je le devienne dans l’avenir malgré ce qui se passe à mon encontre de la part de celles-ci ressemble à celle du Pr Denis Buican.
Je n’ai pas le niveau de ce professeur mais mes problèmes avec la psychiatrie et la justice ressemblent à ceux que celui-ci a connus.
Dans celle-ci victime de plusieurs agressions physiques par un ou plusieurs inconnus il avait porté plainte plusieurs fois au commissariat de police mais celle-ci ne donnait jamais la suite qu’il convient selon la loi alors à ses plaintes.
Dans mon affaire l’avis de ma femme c’est que la police s’est bien comportée avec elle et quant à moi mon avis c’est aussi que la police s’est bien comportée avec moi.
C’est le procureur de la République de Nice qui lui ne respecte en rien la loi en matière de procédure pénale car il n’a jamais enregistré aucune de mes plaintes malgré mes réclamations.
Dans cette hospitalisation à tort cinq semaines en psychiatrie en service dit libre dès le début de celle-ci j’ai téléphoné aussitôt vite plusieurs fois grâce à mon portable à l’accueil du tribunal judiciaire de Nice en laissant à celui-ci des messages tels que par exemple ceci (je cite de mémoire) : "Ce n’est pas vrai que je suis menteur, agité, délirant, etc. Je porte plainte contre le médecin des urgences du Centre hospitalier la Palmosa de Menton", etc. Au CHU Pasteur 2 de Nice je ne me rappelle plus si j’ai alors à nouveau adressé des messages d’appel à l’aide ou au secours à l'accueil du tribunal judicaire de Nice. J’y ai vu plusieurs dames psy dont l'une m’a alors notamment demandé : "Est-ce que vous nous faites confiance ?" J’ai répondu : "Oui à priori !" Le lendemain matin j’ai été transféré au Centre hospitalier Sainte-Marie de Nice où j’ai déclaré plusieurs fois aussi bien à mon arrivée qu'ensuite ceci : "Je veux voir un expert près les tribunaux pour lui apprendre la psychiatrie et ne veux prendre aucun médicament jusqu'à sa visite et son avis pour ma santé psy laquelle pour moi est parfaite !" Par la suite environ quatre fois j’ai demandé ma sortie contre avis médical comme la loi soi-disant le permet en service dit libre par des messages adressés à nouveau l’accueil du tribunal judiciaire de Nice. À chaque fois une infirmière m’a alors répondu en me passant même l'une d'entre elles son bras autour de mon cou pour semble-t-il alors me calmer ainsi (je m'étais énerver un peu avec la généraliste qui prétendait elle que j'étais délirant à mon arrivée dans le service alors que ce n'était pas vrai du tout au moins pour moi) : "Il n’y a pas de médecin actuellement pour vous recevoir à ce sujet !" J’ai fait remarquer souvent à celles-ci : "La loi interdit de prescrire ou de faire prendre des médicaments à autrui sans aucune explication médicale à celui-ci et la justice considère que si tel est le cas c'est un viol passible de la Cour d'assises !" Peu avant ma sortie je demande à la psy qui s’occupait de moi depuis cinq semaines : "Pourquoi vous me prescrivez deux comprimés (ou deux gélules) d’aripiprazole 10 mg par jour alors qu’aucun psy ne m’a jamais prescrit une telle dose ?" Réponse : "La schizophrénie est une maladie chronique !" La veille de ma sortie de l’ĥôpital lorsqu’une infirmière m’a demandé de remplir le questionnaire de satisfaction relatif à mon séjour de cinq semaines dans celui-ci en conclusion j’ai alors écrit ceci : "L’hôpital Sainte-Marie de Nice ne pouvait pas concevoir l’erreur et la faute médicales commises auparavant à l’hôpital de la Palmosa de Menton."
Malgré les avis de la CADA rappelant à ces hôpitaux qu’ils doivent respecter la loi ceux-ci n’ont toujours pas communiqué à ma généraliste et à mon psychiatre soit mon dossier médical intégral soit certaines pièces de celui-ci (certificat d’hospitalisation, etc.) et aucun d’eux ne m'a jamais proposé à ce jour de m’indemniser pour leurs préjudices.
Je ne peux prédire ni la suite de cette affaire ni la suite de mes articles sur Mediapart.
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Le 19 septembre 2025,
Lucien JEWCZUK