«Pour quiconque s'intéresse aux Balkans, à titre personnel, politique ou professionnel (et c'est mon cas, à tous ces titres), le Courrier des Balkans est tout simplement indispensable et sans aucun équivalent.
S'il lance aujourd'hui son appel à soutien pour pouvoir accomplir sa “révolution”, c'est sur la base d'un succès dans son projet jounalistique. Car il a réussi son pari : dans cette région si souvent démonisée, où d'éternels “conflits balkaniques” sont supposés associés à de fatales “haines inter-ethniques”, il a réussi à exercer une “objectivité” particulièrement précieuse, qui n'est pas une pseudo-neutralité. C'est un engagement à ne rien cacher qui “dérange”, manifeste dans la diversité des sujets et éclairages, par pays et par “dossiers” transversaux d'une extraordinaire richesse. C'est donc une source de résistance aux approches apologétiques du monde existant, comme aux présentations angéliques et roses des alternatives qui se cherchent ; c'est notamment donner la parole aux “sans-voix” des mouvements protestataires – comme ces “Plénums citoyens” de Bosnie-Herzégovine et les autres manifestations d'un “printemps balkanique” confronté, comme d'autres printemps, à bien des intempéries. C'est aider à penser le monde au travers du prisme d'autres Balkans.» (Catherine Samary, universitaire).
«Depuis 15 ans, le Courrier des Balkans c'est une information pluraliste et indépendante en français sur tout ce qui se passe dans cette partie de l'Europe si proche de nous et pourtant si méconnue. Des infos et des reportages sur la politique, l'économie, la culture... et même la gastronomie, autant de raisons de soutenir le Courrier des Balkans !» Christophe Najdovski, maire-adjoint de Paris en charge des transports, de la voirie, des déplacements et de l'espace public.
Vous aussi soutenez le Courrier des Balkans !
La rédaction du Courrier des Balkans part en reportage. On compte sur vous pour nous aider à faire le plein...