« Explorer la corporalité de la parole »... Dans « Le King du Ring », Alexia Vidal, de la compagnie « Corps de passage »,met en scène le dialogue intérieur de Mohamed Ali pendant ses combats, long poème ryhtmé par des mots-coups de poings écrit par Rémy Chechetto.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
« Explorer la corporalité de la parole »... Dans « Le King du Ring », Alexia Vidal, de la compagnie « Corps de passage », met en scène le dialogue intérieur de Mohamed Ali pendant ses combats, long poème ryhtmé par des mots-coups de poings écrit par Rémy Chechetto. Une magnifique scénographie lumineuse et vidéo, créations de Cyrille Coé pour lalumière et Marie Jumelin pour la vidéo, incarne le ring, par des lignes, des carrés blancs, matérialise l’enfermement de la rage, l’envol de la danse du ring et sert de support imaginaire aux changements d’états et à la mémoire émotionnelle du boxeur par la projection d’images oniriques en fond de scène. La comédienne-boxeuse Adeline Walter, quant à elle, interprète merveilleusement cette partition physique dans laquelle elle alterne la boxe et la danse des mots.
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