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Billet de blog 1 juin 2016

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US et COUTUMES et leur usage..de quel droit

Ce que nous faisons chaque jour, et chaque nuit, relève du droit de chacun, le jour, et de son intimité, la nuit . Quoi de plus naturel

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

 L'usage d'une chose est le profit que l'on en tire, et, ce, depuis que le monde existe. Si l'on exlut le monde animal et le monde végétal, et la nature elle même, dont les us et coutumes de vie, et de survie, sont bien connus parce que bien observés, et immuables, il y a nous : l"homme et la femme.

Les humains ont des us et coutumes évolutifs. Aussi, ont-ils jugés bon de les règlementer. Les comportements, au fil du temps, ici et là, évoluaient, hors des principes élémentaires du bien-fondé. Ces principes eux mêmes, pourtant édictés, sont divers selon les lieux et les moments. Peut-on, de nos jours, vivre comme au Moyen Âge. Ne doit-on pas vivre différemment, selon que l'on vit au pôle nord ou  à l'équateur. Sur une terre fertile ou aride. Bref, du Nord au Sud, dans les villes et la campagne, voire dans la brousse; et selon les saisons..., et non de la même façon.

Chez nous, le point de départ de nos us et coutumes réglementés est le millésime 1789. Puis, - sans couper les cheveux en quatre, mais en huit - , c'est ce chiffre 8 qui les illustre, pour règlementer notre vie, notre façon de vivre, nos -si bien dits- us et coutumes. Donc, après 14/18, il y eut 1938, 1948, 1958, 1968 et leurs évènements et évolutions. Peut-on dire aussi, 88, 98, et demain ..2018.

Qui peut le dire aujourd'hui. Nos textes sont-ils illisibles ou incompréhensibles. Certes, il y a eu l'évolution de nos constitutions passées. Et, d'aucuns appellent, tel un leit-motiv, celles de demain, sans les avoir rédigées.

S'agissant de la nôtre, il est vrai - c'est écrit - que l'application de l'article 49-3 relève de la décision d'un seul homme "...qui peut..."etc., sans se préoccuper du Parlement élu par le Peuple.

N'y a-t-il pas lieu de se référer, sans cesse, au préambule d'une Constitution qui a marqué mon adolescence et qui proclamait, en particulier :

" que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliènables et sacrés .."

" que tout homme persécuté en raison de son action en faveur de la Liberté a droit d'asile .."

" que nul ne peut être lésé dans son travail ou emploi en raison de ses origines, opinions, croyance ... ajoutons " de sexe ", puisque " les droits de la femme sont, désormais, garantis  égaux à ceux de l'homme dans tous les domaines .."

" que tout travailleur participe à la détermination collective des conditions de travail et à la gestion des entreprises.." .." peut défendre ses droits et ses intérêts par l'action syndicales et adhérer au syndicat de son choix.."

Enfin, dernier extrait : " ..Tout bien, toute entreprise dont l'exploitation a, ou acquiert, les catractères d'un service public national, ou d'un monopole de fait, doit devenir la propriété de la collectivité.."

Qui peut nier ces visions de nos anciens . Leurs vues de ces us et coutumes sont-elles abusives..

Allez savoir.

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