Tout au long de notre Histoire, et celle du Monde, ici ou là, dans tous les continents, les régimes politiques se sont succèdés, au nom de Dieu, (ou des dieux) et maintenant, de par la volonté du peuple appelé à voter. Autrement dit, à choisir, ceux et celles qui vont lui faire subir leur dictature, au nom de la Loi.
Entre le socialisme, le communisme, le royalisme, et tutti quanti, et le fascisme, le peuple doit subir les édits qui le régissent, au nom du Roi, au nom de l'Empereur, au nom du Tsar, au nom du Soviet suprême, au nom du père et du fils, mais jamais au nom du capitalisme, lequel pourtant ne se cache pas, mais reste un mystère.
Désorienté, désargenté surtout, le sujet ou citoyen électeur, pensera voter pour le plus - ou apparemment - meilleur offrant. Il fera surtout pour celui qui l'aura le mieux "managé". Au mieux...ou...au plus mal.
Ne vénère-t-on pas les hauts faits, les monuments, oeuvre législative, état-civil, Cour de ceci, de cela, cathédrales et châteaux, du plus petit au plus grand, sans jamais évoquer le nombre de victimes ; les centaines, milliers, voire millions de morts que leur règne a engendré, pour créer ces " richesses ".
Allez savoir.
Après tout, la question est shakespearienne : être ou ne pas être fasciste . En feignant d'ignorer que le Liberté, notre seule richesse sera perdue.