Comment peut-on imaginer qu'avec 130 000 abonnés le participatif puisse s'améliorer et ne continue pas d'être malmené par des lecteurs et des lectrices habiles à commenter parce que " biens-pensants ", archi diplômés, mais, il faut le dire, souvent très qualifiés et instruits , au vu des faits et vues,et points de vue fournis. Certains complètent même l'article du journaliste; voire le contredisent.
Parmi eux, inévitablement , de surcroît, il y aura des idéologues, des miltants effrénés de partis politiques, voire de chapelles différentes. Ne sont-elles pas nombreuses aussi. Les joutes , dès lors continueronts , entre la droite, la gauche, le centre, et les extrêmes dont tout un chacun craint l'escalade.
Lorsque Médiapart paru, il fut accueilli comme étant, sur le web, un grand journal d'investigations, comme le Canard Enchaîné sur le papier. Comme il s'adressait à un lectorat très partculier, confiné chez lui, devant son ordi , et non à la devanture des kiosques à journaux distribuant des journanux de toute nature, dont, en ce temps là, " L'Os libre " ou " Socialisme ou Barbarie " .Donc, alors, les blagues de Pierre Dac qui faisaient rire, ou les textes de Cardan Paul ou Pierre Chaulieu qui faisaient réfléchir, sans savoir qu'il s'agissait des pseudonymes de Cornélius Castoriadis.
S'agissant de Médiapart, on apprécie que l'auteur de chaque article s'identifie. Et on aime ou on n'aime pas au vu des dialogues que certains commentateurs échangent avec lui. On aime moins ceux qu'ils échangent entre eux.
En revanche, il ne peut en être de même lorsque l'article émane " des invités de Médiapart ". C'est qui s'interrogent certains abonnés. De la même façon , on ne peut apprécier de ne pouvoir identifier, dans "L'Édition Camédia" celui ou celle qui nous fait l'honneur de nous informer. On aime - c'est mon avis - savoir qui, de Chantal ou Jean Éveno ou Pascal Maillard nous proposent ou incitent à faire ceci ou cela. Comme on aime savoir pourquoi d'autres partent.Il est simple de mettre son nom ( ou pseudo) à coté de Camédia si on écrit pour elle, et sans Camédia si on écrit en son nom propre.
Par ailleurs, lorsque on lit dans la rubrique " Le Club " le texte qui suit :
"MEDIAPART N’AURA PLUS NI MES ECRITS NI MON ARGENT :
" Blog fermé par l'auteur : celui-ci n'a plus confiance dans Mediapart suite autrefois à des censures abusives par celui-ci de ses articles et liens sur la prostitution et le viol alors que ceux-ci étaient pourtant parfaitement conformes aussi bien à la Charte de Mediapart qu'à la loi sur les publications dans les médias. Ces articles et liens ont été reproduits sur d'autres blogs chez d'autres hébergeurs (eux par contre gratuits) où l'auteur n'a toujours pas constaté ni abus ni mensonges de la part de ceux-ci. J'ajoute que Mediapart refuse de communiquer à l’auteur les explications légales que celui-ci lui a demandées au sujet de ses censures et mensonges.
Le 12 février 2017,
PLUME DE SCHIZO"
quelle est la réponse ? de qui doit-elle émaner ? de Médiapart ou de Camédia .....
Salut et Fraternité
ALLEZ SAVOIR