Le lecteur, à fortiori le commentateur, est exigeant. Il souhaite, des journalistes professionnels ou improvisés, une information saine, vérifiée, surtout lorsqu'il s'agit d'investigations pointues. La connivence qui s'établit alors ne peut - ne saurait - être, que productive. L'invective, l'apostrophe ou l'expression injurieuse ne peut être que négative.
Quoique ! dans les dialogues, un mot, des mots, une phrase injurieuse en appelle une autre. Invectiver c'est toujours contre quelqu'un. L'un contre l'autre. C'est rare en littérature. Contrôlée dans certaines publications papier, qu'elles soient mensuelles, hebdomadaires ou journalières. Sur le web c'est immédiat et direct. Surtout quand le système choisi est dit "participatif", et la publication quotidienne.
Et pour ceux qui les lisent, c'est un spectacle. Toutefois, comme ils n'aiment pas les coups bas, il y a un arbitre. Il est nécessaire , comme dans les bons matchs, de sports ou autres où il y a parfois - souvent - des échanges musclés, physiques, mais aussi verbaux. Parfois, c'est lui qui est sifflé. Nécessairement, car , à défaut, spontanément, il y a un risque de pugilat. Sans autre forme de commentaires , contrepèteries, ou contreproposition.
Salut et Fraternité
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