Depuis que le nouveau président , du haut de sa nacelle, a , pour s'élever, lâcher du lest. D'abord " ni de gauche,ni de droite ", les partis en sont restés cois. La principale adversaire, elle aussi, est restée toute coite.
Peut-on dire que toutes les organisations, traditionnellement d'opposition - syndicats d'ouvriers, de fonctionnaires, mêmes capitalistes, et certaines entités spirituelles - en sont restés ébaubis.
Tous se cherchent un nouveau chef de file. Et tous sont contents ( apparemment ) ils s'en trouvent plusieurs. Pour éviter les chamailleries, il leur faut décider de partager. Et c'est l'éclatement. Chaque chef obtient - ou prend - un morceau du parti. Leur lest, en quelque sorte, mais resté au sol, dans l'attente d'une hypothétique ascension.
Pendant ce temps là, l'élu, du haut de sa nacelle, continue de monter, lâchant, comme lest, toutes ses directives, réformes, réorganisation de tous les organismes et de toutes les administrations. Sans que , qui que ce soit - même les capitalistes -, ne disent leur désapprobation. Tout est " en marche ".
Et le peuple, me direz-vous, il regarde les matchs de foot à la télé. Et la PUB qui la nourrit. Quant à la Presse, elles aussi s'inquiète, des millions gagnés par tous les sportifs dits de haut niveau, car leurs revenus et indemnités le sont aussi, d'un très haut niveau.
Mais cela importe peu. Nombreux attendent Messi, D'autres prient le leur. Comme aurait dit Laetitia : " Pourvou que çà doure "...
Salut et Fraternité.
ALLEZ SAVOIR.